1. Fondements


    Datte: 04/06/2021, Catégories: fh, hplusag, hagé, poilu(e)s, complexe, vacances, campagne, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, init, mélo, nostalgie, Auteur: Maria Del Toboso, Source: Revebebe

    ... trouverait au préalable. La solution fut vite trouvée. En cette saison, l’école qui se trouvait en face de la mairie était désertée. Je pouvais me changer discrètement dans les toilettes. Second point. Pour le reste, cela restait schématique, et largement laissé à l’improvisation.
    
    Me voilà donc le matin à la recherche d’une jupe. Je n’en ai pas trente-six. J’en possède deux que je mets dans les « grandes occasions », comme les anniversaires, les fêtes de famille. Il y en a une pour l’hiver et une pour la saison chaude. Ce ne sont pas des « mini-mini ». Celle d’été est blanche, ample et légère et m’arrive aux genoux. Ça me semble pas mal. Je l’enveloppe soigneusement dans une poche en plastique, me la prends sous le bras, et annonce à la cantonade que je passe dire un petit bonjour à Maminou. Ce que je fais. Mais avant, je passe derrière l’école, avise les toilettes et coince mon sac plastique derrière la chasse d’eau. La première partie du plan est en bonne voie. Me voilà qui arrive l’air de rien chez Maminou. Gros bisous. Comme d’habitude, il y a des invités et je ne vais pas m’incruster. Ça m’arrange bien, d’ailleurs. Retour à la base de départ.
    
    Le déjeuner est frugal. La mère part faire sa tournée. Le frérot me dit qu’il rejoint son cousin. Tout cela me convient parfaitement. Une fois que tout le monde est parti, deuxième phase. Je commence par la douche. Je passe aux toilettes et nettoie méticuleusement mon petit orifice. Mieux encore, je réussis à m’introduire ...
    ... deux doigts bien savonnés avec lesquels je veille à ce qu’il ne reste rien de désagréable dans le conduit. Je vérifie avec un mouchoir de papier blanc. Tout est nickel. Si mon chéri s’aventure, il en ressortira tout propre. Du moins je l’espère. Je me rhabille en enfilant ma lingerie de femme fatale. Je repars à l’aventure. Dehors, c’est à nouveau le cagnard. Il fera bon dans la pièce à l’ombre. Je marche de façon déterminée, mais pas trop vite. Pas question de me prendre une suée. Virée à l’école. Derrière le bâtiment. Personne en vue. Je referme la porte sur moi et tire le verrou. Un geste sec, j’ai le jean sur les chevilles. Je tire une jambe puis deux. Je me regarde une seconde. Ma forêt intime dépasse abondamment à droite et à gauche du voile de mon string et se gonfle comme un duvet tout autour. De profil, ça fait une épaisseur qui met ma boîte à plaisir en exergue. On dirait une oriflamme de bataille ! Mais pas celui de la Pucelle ! J’enfile ma jupe blanche. Je me suis mis des mocassins informes aux pieds. J’allais pas piquer des chaussures à talon à la mère ! J’enveloppe le pantalon dans le plastique et je le planque là où j’avais laissé la jupe ce matin. Ça y est ! Je suis prête pour mon entrée en scène.
    
    Je me pointe sur la route. Un regard à droite et à gauche. Personne ! Je traverse et me rue dans le chemin le long de la maison de Xavier. Le portillon… La terrasse… Je gratte à la porte. « Entre », que j’entends articuler de l’intérieur. Je referme la porte sur moi. ...
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