Fondements
Datte: 04/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
poilu(e)s,
complexe,
vacances,
campagne,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
init,
mélo,
nostalgie,
Auteur: Maria Del Toboso, Source: Revebebe
... ailleurs que dans le nid conjugal. Alors, tu vois… Mais, pour que tu sois tout à fait rassurée, dès demain matin j’irai me faire contrôler.
Je me suis jetée dans ses bras. La vie redevenait possible. Et nous allions pouvoir à nouveau nous noyer tous les deux dans un océan de lubricité ! Je l’ai étouffé sous mes baisers, j’ai dévoré ses lèvres avec toute ma passion retrouvée, j’ai mêlé nos souffles et nos salives, j’ai pénétré sa bouche de ma langue comme j’avais pénétré son cul de mes doigts trois jours avant.
Xavier a glissé ses grandes mains sous mon T-shirt, et commencé à triturer mes nichons. Mais comme avec ma « période », mes seins me faisaient un peu mal, je me suis gentiment dégagée en lui murmurant que ce n’était que partie remise. Malgré tout, il voulut que nous montions nous allonger tous les deux, pour que nous terminions l’après-midi dans la tendresse des bras de l’autre. Mais lorsque nous fûmes allongés, je n’ai pas pu résister. Je lui ai dit que même si on ne pouvait pas baiser, et que je devrais conserver ma petite culotte, j’aimerais sentir son corps contre ma nudité, pouvoir le chérir et le caresser de tout mon saoul, doucement, comme ça, juste pour la tendresse.
Nous avons fait comme je le lui avais demandé. Lui était entièrement nu, et moi je n’avais conservé que ma culotte. J’ai passé mon bras autour de son cou, et je me suis allongée la tête sur sa poitrine, à doucement écouter sa respiration. J’ai laissé mon autre main courir sur son torse ...
... et son ventre, mesurant la douceur de sa peau, peignant doucement les longs poils blancs qui tapissaient sa poitrine. Lui aussi m’entourait de ses bras, mais eu égard à mon indisposition, hésitait à me caresser. Nous étions bien. Mes nichons s’écrasaient sur son ventre et il apercevait mon téton gauche tout tendu et endolori qui se vautrait sur son estomac. J’ai entendu quatre heures au clocher. Je me suis un peu remontée vers son visage. En me redressant, mes seins pendaient au-dessus de sa poitrine, et j’ai vu que le spectacle suscitait à nouveau chez lui cette expression de désir que j’avais déjà surprise et que j’aimais tant, et qui le faisait bander.
– Mon bel étalon, que je lui ai dit, on va pas te faire le coup du souffleur !
– Qu’est-ce qu’on lui fait au souffleur ? m’a-t-il demandé.
– Tu sais, l’étalon auquel on fait sentir si la jument est en chaleur…
– Et alors ?
– Ben tiens, l’étalon, quand il en sent une bien disposée, tu verrais la canne qu’il se trimbale sous le ventre ! C’est comme ça qu’il nous dit que la jument est en période… Il nous le souffle !
– Et quel coup lui fait-on ?
– Ben, on prend la jument et on la mène au mâle auquel on la réserve, pour maintenir la lignée…
– Et le souffleur ?
– Ben, il se la met en bandoulière !
– Et moi ?
– Mon pauvre chéri, je peux pas te donner beaucoup aujourd’hui, mais je peux peut-être te soulager…
– Tu crois ?
– L’autre jour, quand je te goûtais, tu m’as dit d’arrêter car sinon tu ...