1. Rafik, Directeur de lycée Deuxième partie: Hakima,


    Datte: 04/06/2021, Catégories: Anal Humour Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... cela me plaisait d’être la chose de cet homme. Inconsciemment, je voulais lui donner tout le plaisir qu’il voulait, afin qu’il reste avec moi.
    
    « Parce que dès cette première fois, j’avais décidé de tout faire pour que Rafik me garde auprès de lui. Que je sois sa maîtresse dans le lycée. Sa seule maîtresse. Je voulais que toutes les femmes me jalousent et rêvent d’être à ma place. Une place que je ne leur céderais pas ! C’est donc avec délectation que je reçus - d’abord au fond de ma gorge, puis dans ma bouche et le reste sur le visage – tout le sperme qu’il éjacula en jouissant. Et du sperme, il en avait encore en quantité, malgré ses trois éjaculations précédentes. Et je bus la totalité avec ostentation, pour lui montrer que j’étais une maîtresse à la hauteur.
    
    « Il me laissa partir juste après cette bizarre fellation, après m’avoir dit que j’étais exactement comme il m’imaginait (une pute qui adorait le sexe !) et m’avoir donné rendez-vous, chez lui pour le lendemain matin. Voilà toute l’histoire. Demain je retourne le voir et je passerai toute la matinée dans ses bras. Je suis devenue terriblement accro à cet homme et à son merveilleux manche.
    
    …/…
    
    Voila donc l’histoire de la première d’entre nous qui goûta au zob de Rafik, notre directeur. Hakima, Zineb et moi en fûmes toutes retournées. Peut-être même un peu jalouses. Ce qu’elle nous avait raconté avait mis le feu en nous. Pour ne parler que de moi, j’avais la culotte toute mouillée et l’envie de baiser m’avait ...
    ... accompagnée tout le reste de la journée. Ce fut mon mari qui fit les frais de cette envie irrépressible de me faire tirer. Dès qu’il rentra à la maison, vers dix-huit heures, je l’entrainais dans notre chambre à coucher (notre bébé y dormait encore) et l’obligeai à me tirer en levrette. Le pauvre en était tout étonné. Il ne m’avait encore jamais vu dans un tel état d’excitation, mais il se plia à mes désirs sans poser une seule question. Par la suite, je lui dis qu’une amie m’avait raconté ses ébats de la nuit avec son mari et que cela m’avait beaucoup excitée. Il m’avait semblé que j’avais beaucoup joui : certainement à cause du contexte un peu spécial des ébats.
    
    Zahia continua un moment à nous raconter, avec moult précisions, ses aventures avec Rafik. Elle n’arrêtait pas de tarir d’éloges sur les capacités phénoménales de l’homme : puissant et infatigable. Et elle n’arrêtait pas de décrire l’engin qu’il portait entre ses cuisses : ses mensurations, sa beauté, sa puissance, sa force et sa douceur. Et à chaque fois, elle nous rendait plus jalouses d’elle. Chacune d’entre-nous s’imaginait à sa place entrain de subir les assauts du maître. Et à chaque fois, nous rentrions un peu frustrées à la maison. Et puis un matin, Zahia prit Hakima à part et lui parla longuement, sans que Zineb et moi ne pûmes entendre quoi que ce soit. Quand elles terminèrent leur aparté, elles revinrent vers nous avec un merveilleux sourire sur les lèvres. Surtout Hakima. Ce fut elle qui nous annonça ...
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