1. Rafik, Directeur de lycée Deuxième partie: Hakima,


    Datte: 04/06/2021, Catégories: Anal Humour Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... au moment même où Rafik et moi jouissions bruyamment, l’idée me traversa l’esprit que Wahiba, la secrétaire de mon amant qui travaillait dans le bureau d’à côté, était entrain de nous entendre et que peut-être même, elle nous épiait à travers le trou de la serrure de la porte. Et je m’en fichais complètement ! Rafik se vida complètement et sortit son zob, un peu ramolli, de mon cul.
    
    « Il fit alors une chose complètement folle. Du moins dans mon esprit. Il me fit descendre du bureau sur lequel j’étais allongée et m’obligea à me mettre à genoux devant lui. Il me présenta son zob noir, rempli de nos sécrétions et m’ordonna de le lécher.
    
    - Lahsi‘h ou ghasli‘h befoumek ! (Lèche-le et lave-le avec ta bouche !)
    
    « Je n’avais jamais fait une chose pareille. Mon mari ne m’avait jamais demandé de le sucer après m’avoir enculée. Et si d’aventure, il l’avait fait, ma réponse aurait été catégoriquement négative. Mais avec Rafik, il n’était pas question de refuser quoi que ce soit. Et, pour être vraiment honnête, je n’avais aucune envie de refuser. J’étais dans le même état d’esprit qu’une femme sous influence. Ce qui venait de mon homme ne pouvait pas être mauvais ! Ce qu’il m’ordonnait devait être exécuté sans réticence, résistance ou appréhension ! J’attrapai donc le zob, un peu flasque de Rafik et avançai la tête vers son pubis. Je fus frappée par l’odeur assez forte de cacas que dégageait le manche, mais cela ne m’arrêta pas pour sortir la langue et me mettre à le lécher. Je ...
    ... n’aimais pas le goût du mélange que j’étais entrain de ramasser avec ma langue, mais je fis l’effort de le porter à ma bouche et de l’avaler.
    
    « Je recommençais plusieurs fois. Rafik gémissait à chacun de mes coups de langue. De toute évidence, il aimait ce que je lui faisais. Il aimait tellement, qu’il se remit à bander. Moins de deux minutes plus tard, son manche avait repris ses proportions exceptionnelles et se remit à frémir de désir. Il m’attrapa violemment par les cheveux et m’ordonna d’une voix qui n’admettait aucune réplique :
    
    - Halli foumek ! Rayeh en-nikek men-nou ! (Ouvre ta bouche ! Je vais te niquer par là !)
    
    « Et il me niqua par la bouche, comme il m’avait niquée par la chatte ! Comme il m’avait niquée par le cul ! Avec autant de force et de puissance ! Il avait même failli me faire mourir d’étouffement, tellement son manche avait pénétré très loin au-delà de la glotte. J’avais très mal et en même temps j’avais envie de vomir. D’ailleurs j’avais vomis plusieurs fois sur son zob, au moment où il le ressortait, pour me permettre de reprendre mon souffle. Cela augmentait son excitation de voir l’état dans lequel il m’avait mise : les yeux qui coulaient de larmes, les narines qui dégoulinaient de morve, les lèvres qui laissaient passer des flots de salive et la bouche qui laissait sortir de temps en temps du vomi. A aucun moment, il n’avait lâché mes cheveux sur lesquels il continuait de tirer violemment. J’étais sa chose et il me traitait comme telle. Et ...
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