1. Croisiére Corse - Épisode n°2


    Datte: 14/05/2018, Catégories: fh, hplusag, bateau, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Tylodine, Source: Revebebe

    ... banquette, elle vint poser sa tête sur mes cuisses et je sentis bientôt le contact brûlant d’une langue et de deux lèvres humides sur mon gland.
    
    — Bon sang, Giulia, tu veux me tuer ! Ça fait des mois que…
    — Et moi ça fait des années que j’attends ça… je suis majeure et vaccinée, et je n’ai pas fait l’amour depuis deux ans et j’ai envie de toi, et zut !
    
    Se redressant contre moi, elle prit ma main et la plaqua contre son sexe.
    
    — Sens comme je suis trempée, comme je t’attends, viens dans moi !
    
    Sans plus attendre, elle se souleva, se mit à califourchon sur mes cuisses et, d’un seul coup, s’empala jusqu’à la garde en poussant un « AH ! » de satisfaction. La sensation était tellement intense, que je dus me concentrer pour ne pas jouir immédiatement. Je serrai Giulia contre moi pour l’empêcher de bouger trop vite. Mais elle semblait, elle aussi, presque tétanisée, nos bouches se joignirent, nos langues se cherchant avec avidité.
    
    Jamais auparavant, les mots de trique, de pieu, de gourdin ne m’avaient semblé aussi appropriés à la sensation de rigidité presque douloureuse que je ressentais. La chair douce et humide de Giulia pulsait contre mon vit congestionné, je sentis mon gland toucher le fond de son vagin, sa sensibilité devenue presque insoutenable.
    
    Toujours sans que nos corps ne bougent, je sentais monter la tension, chez elle comme chez moi.
    
    Les pointes durcies de ses seins plaqués contre ma poitrine, sa bouche contre ma bouche…
    
    — Je viens, Pat, je ...
    ... viens déjà, c’est fou… c’est, c’est… oooh !
    
    Son vagin sembla soudain animé d’une vie propre et se contracta en une série de pulsations tandis qu’un liquide chaud coulait sur mes cuisses
    
    — Aah, oui, viens, viens…
    
    Comme si nous avions été synchronisés, j’explosai en longs jets, encore et encore, ma queue toujours raide et douloureuse. Giulia se souleva, doucement, retomba, remonta…
    
    — Mon capitaine, oh, mon beau capitaine, je te sens en moi, dur et doux, si dur, si doux… reste en moi, remplis-moi… Hé, mais ?
    
    Un bruit de soie déchirée, une pluie de gouttelettes d’eau fraîche, un corps noir et brillant disparu en un clin d’œil entre les deux coques…
    
    — Ben ça, alors ! Tu crois qu’il nous a matés ?
    — Viens à l’avant, tu vas le savoir…
    
    Je me glissai hors d’elle, toujours aussi dur, tandis qu’un flot de nos jouissances mêlées coulait le long de ses cuisses bronzées et nous nous précipitâmes vers l’avant. Le trampoline tendu entre les deux coques laissait entrevoir, bondissant dans l’eau bleue, les corps fuselés d’une dizaine de dauphins jouant dans les vagues d’étrave.
    
    — Allonge-toi sur le ventre…
    
    Intriguée, Giulia obéit, les bras écartés en croix, le corps épousant les petites mailles du filet au-dessus du groupe jaillissant des cétacés. Je m’installai sur elle, écartant doucement ses jambes de mon genou. Mon vit toujours bandé glissant entre ses lèvres trouva vite son chemin et je la pénétrai d’un seul mouvement.
    
    Un petit clapot naissant donnait au bateau ...
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