1. Croisiére Corse - Épisode n°2


    Datte: 14/05/2018, Catégories: fh, hplusag, bateau, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Tylodine, Source: Revebebe

    ... comprends, avec les maillots… ça fait des marques ! Tu… me passes ton short ?
    — Je ne saurais me plaindre d’être gratifié d’une aussi exquise vision, répondis-je joyeusement, d’ailleurs, comme tu pourras le constater… je n’ai pas non plus de marques…
    — Ouah ! s’exclama la coquine, je ramasse bien vite ces vestiges textiles et je nous prépare un petit en-cas !
    
    J’avoue que la vision de ces jolies fesses se dandinant sous mon nez ne pouvait me laisser insensible et que lorsque Giulia disparut dans le carré, une magistrale érection me gagna…
    
    Le contact glacé des rayons chromés de la barre me calma un peu et lorsqu’elle revint, j’avais, retrouvé une forme… presque décente.
    
    Répit de courte durée… tandis que Giulia s’avançait, un plateau copieusement garni sur les bras, je ne pouvais détacher mon regard des deux jolis seins qui pointaient vers moi… leurs aréoles foncées semblant deux pupilles qui me narguaient ironiquement…
    
    J’essayais désespérément de penser à autre chose… au cap, au moteur, à la charcuterie corse sur le plateau, rien à faire, je sentais mon érection revenir…
    
    Posant le plateau sur la table du cockpit, Julia passa derrière moi…
    
    — Installe-toi Patou… je vais prendre la barre
    
    Tandis qu’elle parlait, sa poitrine ferme appuyait sur mes omoplates… Aargh !
    
    — Attends, attends, Giulia, nous avons passé la Revellata, il n’y a toujours pas de vent, je règle le pilote automatique sur le Cap Cavallo ; à cette vitesse, nous devrions y être d’ici une ...
    ... grande heure.
    
    Tandis que je réglais le pilote, toujours appuyée contre mon dos, Giulia avait posé sa tête sur mon épaule, jouant distraitement de sa main droite avec les poils de ma poitrine, tandis que la gauche… ah, la gauche !
    
    — Ouah ! Dites-moi, capitaine, sont-ce les effluves magnétiques du compas qui vous asticotent ?
    — Giulia !
    
    Tout en parlant, sa main gauche palpait délicatement mon sexe au garde-à-vous, tandis que j’essayais, vainement, de me concentrer sur le réglage du pilote automatique…
    
    — Holà, Pacha, il me semble que nous faisons demi-tour… je ne veux pas rentrer à Calvi, moi, enfin, pas si vite !
    — M’enfin…
    — Bon, bon, je te laisse à tes problèmes de cap avant que ta zigounette ne se prenne dans les rayons de la barre…
    
    Je réussis enfin à enclencher ce fichu pilote et vins m’affaler sur les coussins de la banquette, laissant le bateau poursuivre seul sa route.
    
    Calme de courte durée ; j’étais à peine assis que Giulia se lovait contre moi, ronronnant comme une chatte.
    
    — Tonton Pat, votre matelote a-t-elle droit à une avance sur salaire… un petit câlin ?
    — Giulia ! Tu n’es pas obligée… je suis un vieux bonhomme et toi…
    — Un vieux bonhomme en sacré bonne santé, je vois, et ton truc là, tout raide, m’a tout l’air d’appeler au secours…
    — Tu me martyrises, Giulia, je ne suis pas en bois !
    — Que si, mon bon Monsieur, voilà un taquet autour duquel on pourrait amarrer un chalutier !
    
    Elle savait où elle allait, la futée, s’allongeant sur la large ...
«1234...»