Marie et le sculpteur aveugle (2)
Datte: 03/06/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: catchme, Source: Xstory
... panique encore plus ce qui contribue à faire glisser les deux pans de mon T-shirt vers l’extérieur, révélant alors ma poitrine complètement nue qui se trémousse sous leurs yeux exorbités.
Le type au couteau arrache littéralement le reste de mon T-shirt qui part au sol en lambeaux, tandis que le troisième tire sur les bretelles qui cèdent aux attaches.
Je me retrouve torse nu entre leurs mains dans le jean trop grand qui glisse sur mes hanches ! C’est la cata !
Je me débats comme une folle ce qui les excite encore plus car mes gros seins swinguent de tous les côtés. Un vrai festival ! Et mon jean glisse inéluctablement et dénude mes hanches au fur et à mesure de mes gesticulations.
Les types ont la bouche ouverte, les yeux hypnotisés et l’un d’eux passe sa langue sur le pourtour de sa bouche. Il salive comme devant une belle dinde rôtie prête à manger.
Je profite de leur déconcentration pour me défaire de la main qui couvrait ma bouche et hurle au moment où l’épicier arrive. Il veut intervenir mais le type au couteau le menace à son tour avec sa lame.
Quand je vois l’épicier reculer et se contenter de regarder, je comprends alors que je suis perdue.
Mais j’arrive quand même à m’échapper momentanément des deux autres. Malheureusement, mon pantalon m’entrave et je tombe à terre à quatre pattes avec les fesses à moitié découvertes. A la vue de la raie de mes fesses et de l’amorce de mes deux globes laiteux qui se révèlent à leurs yeux lubriques, les ...
... racailles sont bouche bée.
« Les mecs, elle a même pas culotte la salope !! »
Totalement surexcités, ils agrippent mon froc alors que j’essaye de m’échapper en rampant et en me tenant aux rayonnages.
Ils sont acharnés. Le froc glisse encore plus…et mes fesses se dénudent complètement ! C’est fini !
Peut-être pas !
A cet instant précis, un client entre dans l’épicerie. C’est un homme d’âge mur. Immédiatement, l’une des racailles lui intime de faire demi-tour.
Cependant, nullement effrayé, très calme, l’homme ne bronche pas, juge la situation d’un rapide coup d’œil et d’un geste vif désarme le type au couteau. Il fait une clé de bras à la fripouille et l’éjecte violemment du magasin.
Le jeune voyou tombe sur le trottoir. Du coup, les deux autres, incrédules et lâches, prennent peur et s’enfuient sans demander leur reste.
Je me relève doucement, choquée et rattache mes bretelles comme je peux puis ramasse les bouts de T-shirt pour couvrir maladroitement ma poitrine en me dirigeant vers l’homme qui vient de me sauver d’un viol inévitable.
« Je... je ne sais comment vous remercier... »
« De rien, ce ne sont que de petites frappes, lâches et sans cervelle ; mais vous ne pouvez pas sortir dans la rue comme ça ; où habitez-vous ? Je vais vous raccompagner »
L’homme à la cinquantaine, les cheveux longs argentés tenus par un catogan, une belle chemise comme celle du sculpteur.
En le regardant de plus près, il lui ressemble. Même style et un physique ...