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Marie et le sculpteur aveugle (2)
Datte: 03/06/2021, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory
... plutôt rêche et la chaire est un peu molle. C’est tellement sensuel que je respire fortement et mes mains tremblotent. Les heures passent, le visage prend forme. On fait des poses et j’en profite pour piquer une tête dans la piscine et revenir sans même remettre mon T-shirt tant la chaleur est étouffante dans l’atelier. Je suis autant excitée qu’appliquée à construire ce visage. Ce qui m’excite le plus, c’est de me demander s’il va de nouveau s’assoir derrière moi sur le tabouret…et découvrir que je suis complètement nue. Mais soudain, il me dit que c’est bon pour aujourd’hui. « On continuera demain, je dois rappeler des clients » Un peu déçue mais comme je n’ai presque plus rien à manger, je décide d’aller moi-même me ravitailler à l’épicerie la plus proche. LE FRÈRE PEINTRE J’enfile mon jean trop large à grosses bretelles et un t-shirt. Les bretelles sont superbes et bien utiles : elles tiennent le froc et en même temps cachent mes tétons qui pointent au travers du T-shirt. De toute façon, à cette heure de la journée, il n’y a pas grand monde dans les rues. Je marche un bon quart d’heure sous la chaleur accablante de l’après-midi. Les rues sont vides comme dans une ville fantôme. On dirait que tout le monde fait la sieste. Sur le chemin je repense à ce qu’il m’apprend. Je vais être la seule sculptrice à utiliser cette technique de non voyant... J’entre dans une épicerie qui est déserte. Il n’y a même pas de caissier. Je prends un panier ...
... et le remplie de ce dont j’ai besoin quand soudain des voix me font sursauter. Des jeunes parlent bruyamment. Des jeunes…enfin, plutôt trois racailles qui font irruption. Je me cache derrière un rayon et accélère le mouvement et cherche le caissier toujours invisible lorsqu’ils m’aperçoivent... Aie... Les premières remarques salaces commencent à fuser. Je me dirige vers la caisse en ajustant mes bretelles pour qu’elles couvrent bien mes tétons mais ils me bloquent le passage et m’obligent à reculer jusqu’au fond du magasin. Je commence à prendre peur et cherche désespérément l’épicier du regard mais toujours absent. Je m’apprête à crier quand l’un d’eux que je n’avais pas vu arriver par derrière, me saisit les bras dans le dos et me colle sa main sur ma bouche. Le panier m’échappe et se renverse. Il me force à me cambrer, projetant ma poitrine en avant ce qui fait glisser les bretelles de part et d’autre de mes seins et découvre mes tétons qui pointent au travers du mince tissu sous le regard des deux autres. Réalisant alors que je ne porte pas de soutif, ça leur déclenche une excitation encore plus incontrôlée... « La salope ! Elle ne porte rien en-dessous ! Mais elle a l’air d’avoir tout ce qu’il faut cette petite garce ! » Je gesticule pour me dégager et leur balance des coups de pieds. L’un d’eux sort alors un couteau à cran d’arrêt, agrippe le devant de mon T-shirt qu’il tire vers lui et le découpe d’un coup de lame de haut en bas ! Je ...