1. Douleur et plaisir ébènes (1)


    Datte: 02/06/2021, Catégories: Gay Auteur: Igor KACHOV, Source: Xstory

    ... mon anatomie. Il accéléra le mouvement de son majeur. Il le faisait tourner et bouger de plus en plus vite. Il mit ensuite deux puis trois doigts. La douleur présente au début s’estompa au fur et à mesure que mon anus se détendait et accueillait ses doigts.
    
    — Prépare-toi, car ce n’est qu’un début.
    
    Il me lança sur le sol et je tombai à quatre pattes. Devant moi était placé un grand miroir posé sur le sol dans lequel je voyais ma position inférieure et le maître derrière moi me regardant fixement. « Prépare-toi à me faire du bien, salope. Tu vas t’ouvrir à moi et te soumettre sinon tu vas vraiment en baver ! »
    
    Il cracha deux gros mollards sur sa queue et un dernier pour m’humidifier l’intérieur de mon cul. Je sentis alors son gland s’enfoncer dans mon sphincter. Il ne bougeait plus, me prenant comme une chienne par-derrière et me regardant fixement et fièrement dans le miroir. La victoire de l’homme viril et puissant sur son inférieur. « TPMP » dit-il, en s’enfonçant un peu sans ouvrir totalement mon sphincter interne. Je serrai les dents pour ne pas crier, mais mes yeux commençaient à se charger de larmes tellement la douleur était forte. Il se retira d’un seul coup pour aller chercher un tube de gel. « Pour ne pas t’abîmer, je vais bien huiler ma queue pour qu’elle te baise bien profond ».
    
    Je le sentis en moi, mon sphincter à moitié ouvert dans mes entrailles lubrifiées. « TPMP, ça veut dire : Tout Pour Mon Plaisir, bitch ! » et d’un coup de reins sec et ...
    ... décidé, il entra d’un mouvement de bassin l’ensemble de son chibre en moi. Mon sphincter s’ouvrit entièrement et son gland tapa dans mon rectum totalement nettoyé. Je hurlais de douleur et m’effondrai devant le miroir. Il continuait ses coups de boutoir puissants et ses râles dominants. Il s’admirait dans le miroir et il aimait cela. Je sentais la pression de son sexe gonflé dans mes entrailles. Parfois, il le sortait complètement et me l’introduisait d’un seul coup fort et profond. Il savait que cela me faisait mal, mais lui prenait son pied. Il commençait à transpirer et son corps d’ébène luisait. Au bout d’un temps qui me sembla interminable, il me retourna sur le dos. Me faisant face, il souleva mes jambes et me pénétra avec frénésie.
    
    Je me tordais de douleur tellement ses coups étaient puissants. « J’aime bien ton petit cul bien serré, il me donne beaucoup de plaisir ». Il continua à se retirer entièrement puis de tout son poids s’enfoncer de nouveau jusqu’à la garde et tournait son sexe en moi. Il ne me regardait plus, il s’admirait face au miroir. Je n’étais plus qu’un receveur servant son seul plaisir. Toutefois, son membre frottant ma prostate me procura une jouissance extrême vite interdite par ma cage enfermant mon sexe.
    
    Enfin, il se lâcha et se retira précipitamment de moi. Il me fit face. « Ouvre bien ta bouche salope, tu vas goûter à mon jus ». Si tu en gâches une goutte, tu vas dérouiller. » Il se branla debout face à moi qui ouvrai la bouche et qui tirai la ...
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