1. Justine à Paris (4)


    Datte: 01/06/2021, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... baiser.
    
    Il se déshabille posément sans me lâcher des yeux. Je déglutis quand il fait glisser son pantalon noir et que j’aperçois la bosse énorme qui déforme son boxer. Mon ventre réagit instantanément et devient liquide, mes tétons se dressent douloureusement, je retiens de justesse un gémissement. Bien sûr, il se rend compte de mon état et sourit dangereusement.
    
    — Je vais prendre successivement tes trois orifices et les marquer de ma semence. Puis quand j’aurai bien démoli ton cul et ta chatte, je te donnerai à Marco et son frère. Ensuite, mes amis viendront tous les six et te rempliront de sperme. Ils sont un peu brusques, mais tu apprendras à aimer.
    
    Il baisse son boxer et sa bite jaillit, gigantesque serpent plus proche du boa que de la couleuvre. Jonah semble avoir envie de moi, il bande sévère, sa queue se redresse, cambrée, largement plus épaisse que mon poignet, et aussi longue que mon avant-bras. Mon ventre est si chaud et trempé que je serre les cuisses involontairement. J’examine avec inquiétude cet engin appelé à me prendre, je sais déjà que je vais le sentir passer.
    
    — Tu es prête à te faire défoncer ?
    
    — Oui... Oui Monsieur.
    
    — Tu en as envie ?
    
    — Oui, j’en ai envie...
    
    — Caresse-toi, écarte largement les cuisses, bascule ton bassin pour me montrer ta chatte de salope. Fourre trois doigts dans ta chatte, montre-les... Putain, tu es trempée. Lèche tes doigts.
    
    Fébrilement, je lui obéis, gouttant mon propre plaisir. Il s’approche alors, me ...
    ... soulève par les aisselles ; naturellement, je noue mes mains sur sa nuque et encercle sa taille de mes jambes. Ce faisant, je sens sa virilité se loger entre mes fesses et palpiter. Jonah pose ses lèvres sur les miennes et insère sa langue. Bonne fille, j’accède à sa demande et ouvre la bouche. Alors il prend possession des lieux avec détermination, se comportant en mâle dominant. Ce qu’il est sans conteste. Je gémis devant sa fougue et son autorité, mes seins se collent contre son torse puissant, ils semblent avoir doublé de volume tellement ils sont lourds et durs.
    
    Il ne me tient presque plus, je suis accrochée à lui comme une moule à son rocher. D’une main, il guide son épieu, l’imprègne de la cyprine qui ruisselle de mon vagin, l’insère entre les replis nacrés de ma vulve. Il s’enfonce à peine dans mon antre trempé que je défaille déjà tellement son gland est épais. Mais je suis si mouillée qu’il glisse facilement en moi, distendant mon intimité à l’extrême. Ça se complique un peu quand la colonne de chair suit sur un coup de reins puissant, puis mon poids fait le reste. Je m’empale jusqu’à sentir l’épieu dur comme l’acier appuyer contre le col de mon utérus, tout au fond de mon ventre. Une légère douleur me traverse quand le gland force à cet endroit.
    
    Je réalise à mon grand désarroi que ma vulve n’est pas au contact de son pubis. J’ai une sensation de plénitude comme jamais je n’ai connu, il est trop épais, trop long, trop tout. Pourtant je suis bien, je ne voudrais ...