1. Tout dans la tête


    Datte: 14/05/2018, Catégories: fh, ff, hh, couple, cérébral, Oral nopéné, hsodo, Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... Roland. Elle a un goût incomparable la quéquette de Roland. Elle ne sait pas ce qu’il fait avec, mais elle est unique, indescriptible… Et à partir de là, elle ressent un doux filet de cyprine couler le long de ses cuisses. Elle l’avoue à Laurent qui constate avec plaisir l’ampleur prise par son membre, et tout cela sans qu’on l’aide autrement qu’avec l’imagination. On peut considérer qu’il est maintenant au maximum de son volume. Patricia le voit bien ; sa coulée augmente et va se nicher dans le creux des fesses. La sensation est unique. Désormais, elle se sent bien. Elle laisse le désir la prendre. Elle gémit sourdement. Laurent est au comble de la tension. Vont-ils arriver à l’orgasme ensemble ?
    
    Malheureusement, ils sont vite obligés de constater que l’excitation retombe. Ils sont arrivés à un palier de plaisir, mais faute de pouvoir utiliser les mains ou les lèvres, ils ne peuvent pas aller plus loin. Patricia voudrait abandonner, ou plutôt s’abandonner dans les bras de son voisin de lit. Mais Laurent est têtu, il veut pousser l’expérience le plus loin possible. Il faut plus de concentration, tel est son diagnostic. Elle lui dit qu’elle ne peut pas plus. Il lui demande de faire un effort, d’accepter une nouvelle tentative.
    
    Le problème est qu’il faut tout reprendre depuis le début. Patricia demande une pause. Elle va boire un verre d’eau. Elle n’a pas droit à une autre boisson ; Laurent est formel. Il ne faut aucun excitant, sinon l’expérience n’a plus de valeur. ...
    ... Elle revient et reprend sa position sur le lit. Et tout repasse par sa tête et particulièrement la quéquette de Roland, qu’elle visualise parfaitement, et même le goût de son sperme, qu’elle a léché jusque sur ses bourses. Si Laurent savait cela ! Mais après tout, c’est lui qui veut à tout prix qu’on continue ce petit jeu, alors il faut bien prendre l’excitation où elle peut. La première fois, Roland lui a dit qu’elle avait une bouche de suceuse. Elle se souvient qu’elle avait été fière de ce compliment. Aujourd’hui, elle trouve tout cela un peu ridicule, évidemment. Il devait dire la même chose à toutes ses conquêtes, ce saligaud. Mais c’est vrai que dans la fac, la quéquette de Roland, toutes voulaient y goûter. Il devait bien y avoir une raison…
    
    Laurent, de son côté, a refait tout son cinéma avec Mélanie. Il se souvient de la fois où elle lui avait mis un doigt dans l’anus pour qu’il éjacule plus vite. Il sent encore cet index intrusif… Bref, après bien des efforts sur leurs esprits et seulement sur leurs esprits, ils sont revenus au même niveau d’excitation maximum de tout à l’heure. Mais comment aller plus loin ? Et il faut faire vite, parce qu’ils savent aussi que cet état est passager, que tout peut s’arrêter en quelques instants, et qu’il est hors de question de reprendre une troisième fois.
    
    Alors que de nouveau la cyprine coule dans la raie culière, Patricia ressent un léger tremblement. Elle se souvient, à la manière de la madeleine de Proust, d’une caresse ...