1. La fille du train (2)


    Datte: 14/05/2018, Catégories: Erotique, Auteur: carbonelement, Source: Xstory

    ... son bassin.
    
    — Je n’y tiens plus, c’est pas vrai. Il faut que tu me prennes, maintenant !
    
    Je ne voulais pas la faire attendre. Je me plaçai alors entre ses cuisses, plaçai mon membre contre sa fente brûlante.
    
    — Tu es trempée ? dis-je.
    
    Je commençai à jouer avec son clitoris en faisant des va-et-vient avec mon gland.
    
    — Non, rentre en moi, je veux te sentir.
    
    Elle écarta ses jambes machinalement, et je glissai mon sexe dur en elle
    
    — Oh... oui... oui... lâcha-t-elle.
    
    Je commençais mon mouvement pour qu’elle sente chaque centimètre de mon sexe. J’allais et venais en elle, tout en l’embrassant. Elle plaqua son corps contre le mien avec ses mains, enfonça ses ongles dans mon dos et me susurra d’accélérer...
    
    — Je veux jouir, et je veux que tu jouisses fort en moi. Va plus vite... oui, c’est ça, continue... tu me fais du bien.
    
    Elle gémissait sous mes assauts qui allaient de plus en plus loin. J’y allais de plus en plus fort. Je la baisais sur ce canapé, sur le canapé qu’elle partageait avec son mec. Cela m’excitait...
    
    Elle enroula ses jambes à mon corps, agrippa mes fesses. De ses mains, elle accompagnait mon mouvement, elle faisait pénétrer ses ongles dans ma chair.
    
    Cela me donna une certaine ...
    ... confiance... une puissance, quelque chose de très nouveau pour moi. Je la regardais prendre son pied sous mes charges, elle gémissait de plaisir tout en fermant les yeux. Je sentais que je lui faisais du bien, que j’avais le contrôle sur elle, et j’aimais cela.
    
    Je pris ses deux mains pour les ramener plus haut au-dessus de sa tête de manière qu’elle perde définitivement pied. Des gouttes de sueur perlaient de nos corps, de mon torse, jusqu’au sien ; ce moment fut charnel.
    
    Lorsque son moment arriva, elle mit une main derrière ma nuque pour forcer ma tête à être dans ses seins, elle mit l’autre sur mes reins.
    
    — Oui... Oui... Je vais jouir... je jouis... je jouis... ohhhh... ohhh !! Mmmhh.
    
    Elle lacérait mon dos et ma nuque tout en ayant de très forts spasmes. Au même moment, j’agrippais ses hanches pour venir en elle.
    
    — Putain... oui aaahh... lâchai-je.
    
    De violent jet, en saccade. Je n’avais encore jamais gémi si fort lors d’un orgasme. C’était irréel. Tellement intense.
    
    Mon corps retomba sur elle, en sueur. Je plongeai ma tête dans son cou tout en reprenant ma respiration. Elle continua d’avoir de légers spasmes tout en m’enlaçant.
    
    Elle me glissa à l’oreille : Toi, je te veux comme amant... Tu es à moi. 
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