1. La fille du train (2)


    Datte: 14/05/2018, Catégories: Erotique, Auteur: carbonelement, Source: Xstory

    Nous reprenions nos esprits petits à petit. Elle sortit de sa position (elle était encore sur moi à califourchon). Elle se mit debout, remit son chemisier et se retourna vers moi :
    
    — Ça te dit de manger un bout ?
    
    Elle arrivait toujours à me surprendre. Nous venions à peine de terminer une partie de jambe en l’air, dans l’appartement qu’elle partageait avec son mec, et elle me proposait déjà de manger, tout cela avec un grand sourire. En fait, je fus ravi :
    
    — Eh bien, ce n’est pas de refus, je meurs de faim ! répondis-je.
    
    Elle se retourna et alla en direction de la cuisine me permettant d’admirer ses magnifiques fesses qui s’éloignait de moi en allant dans le couloir.
    
    Je n’arrivais pas à redescendre de mon état d’euphorie. Jamais je n’aurai cru que ce genre d’histoire m’arriverait un jour. Et je savais au fond de moi que le week-end ne faisait que commencer.
    
    Avec un petit sourire au coin, je décidai de me lever. Je remis mon caleçon et me dirigeai vers la cuisine. Elle avait déjà commencé à sortir quelques aliments et je mis la main à la pâte.
    
    Tout se passait comme si nous étions déjà de très bons amis, nous charriant mutuellement, nous embrassant quelques fois, mais sans aller plus loin. Une complicité entre nous était en train de naître. Ou bien, peut-être que cette fille me faisait simplement tourner la tête. Quand tout fut près, on s’installa dans le salon autour de la table basse. On alluma la télévision et l’on dévora littéralement nos ...
    ... assiettes ; quoi de plus normal après tous ces verres et ce sport ?
    
    L’estomac rempli, on s’affala dans le canapé. Mais déjà, mon esprit et mon corps en redemandaient plus. Déjà, mon sang circulait, mon cœur se mit à battre rapidement dès que je posais mon regard sur elle. Pendant qu’elle regardait la TV, je décidai de me tourner vers elle pour la fixer dans les yeux. Elle se tourna vers moi à son tour. Nous n’avions pas besoin de parler, nous savions exactement ce que nous voulions.
    
    Ma main se dirigea doucement vers son visage. Je caressai sa joue, passai mes doigts sur sa bouche qui s’entrouvrit doucement. A cet instant, j’ouvris grand les yeux et me mordit la lèvre instinctivement. J’imaginais sa bouche autour de mon sexe. Et elle... elle le comprit aussitôt.
    
    Elle glissa vers le sol, se positionna entre mes jambes qu’elle écarta doucement de ses mains. Elle passa ses mains sur mes cuisses et remonta vers mon boxer. A genoux, elle entreprit d’embrasser mon ventre, mon nombril, mon torse tout en continuant à me prodiguer des caresses sur les cuisses, sur le boxer, en effleurant mon sexe avec sa bouche.
    
    Il devint rapidement dur, de sorte qu’encore une fois, une petite tache mouillée transparaissait à travers le caleçon. Du liquide séminal affluait au bout de mon sexe. J’en produisais beaucoup à l’époque (et encore un peu maintenant ; enfin comme tout le monde, je pense ?). Ma verge était de nouveau très gonflée, le bout de mon sexe humide. Elle me regarda, caressant cette ...
«123»