1. La bourgeoise et le marabout (15)


    Datte: 31/05/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... Malheureusement pour moi, il n’est pas aussi bien pourvu... Bien que tournant le dos à l’écran, celui qui me besogne n’est pas en reste. Les mains bien cramponnées à mes hanches ; il ahane en me donnant de grands coups de queue. C’est délicieusement bon et je tends du mieux possible la croupe vers lui pour bien sentir ses bourses cogner contre mes fesses chaque fois qu’il est au fond de ma grotte. Je remarque soudain que la salle commence à se remplir de monde ; compte tenu de l’heure, certains doivent remplacer la pause déjeuner du midi par une petite visite au sex-shop. Mon baiseur se raidit soudain, me serre plus fort la taille et s’immobilise dans un ultime coup de reins. Je sens son sperme qui remplit la capote et il se retire de mon chaud fourreau. Je n’ai même pas le temps de relever la tête qu’un autre homme est déjà à genoux derrière moi et trouve facilement le chemin de ma fente. Celui que je suce jouit à son tour et, comme l’autre, est vite remplacé.
    
    Pendant les deux heures qui suivent, dans la salle de cinéma puis sur le lit dans le salon le plus grand, je m’offre à ces inconnus comme si j’étais l’héroïne d’un film X intitulé « Partouze au sex-shop ». Les hommes vont se succéder et je ne ...
    ... compte plus les glands que je tète, les queues qui me baisent et les bites qui m’enculent. Je savoure le plaisir que l’on peut éprouver dans de tels instants de débauche et de luxure. Je ne suis qu’une femelle assoiffée de jouissance, qu’une salope qui en redemande encore et encore. Si mon marabout me voyait, nul doute qu’il serait fier de moi. Si François mon mari était là, je suis certaine qu’il ferait quelques photos de mes nombreuses saillies, prenant plaisir à faire des gros plans de mes divers orifices visités par ces inconnus. Certains hommes se contentent de se masturber en me regardant puis, au dernier moment, se rapprochent de moi et répandent leur sperme sur mon dos ou mes fesses. Mais qu’importe, l’essentiel est que je le les excite et qu’ils repartent chez eux en m’emportant dans leurs souvenirs. Je suis certaine que je vais habiter pendant quelque temps les fantasmes sexuels les plus délirants de tous ces mâles.
    
    Lorsque je quitte les lieux, je fais un grand sourire au patron de l’établissement, dépose mon string trempé sur le comptoir et lui dis que j’ai été ravie de découvrir son établissement. Il me remercie et me répond que je peux revenir quand je le souhaite pour récupérer mon bien. 
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