La bourgeoise et le marabout (15)
Datte: 31/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
Cette soirée pluralité à la maison, organisée par François, m’a montré combien c’était excitant de sentir le regard des mâles sur soi, leur dévoiler progressivement ses charmes, les voir devenir en rut, les laisser toucher et caresser puis s’offrir entièrement. Ils pensent être les maîtres du jeu mais, en fait, c’est la femme qui a le contrôle. Elle ferme sa bouche, elle serre les jambes et ces messieurs n’ont droit à rien. Je viens, je crois, de découvrir tout le pouvoir d’une femme salope. Jusqu’à présent, c’est Monsieur Coulibadou ou François mon mari qui ont dirigé mes ébats. J’ai envie de m’émanciper un peu et de voir si je suis capable, seule, de me comporter en vraie femelle délurée pour atteindre la jouissance.
Demain matin, dans le cadre de mon travail, j’ai un déplacement professionnel chez l’un de nos clients à Cergy dans le Val d’Oise. J’ai donc décidé de profiter de cette sortie pour trouver un endroit où aller prendre du plaisir. Une petite recherche sur Internet « Lieux libertins 95 » me permet de trouver rapidement deux ou trois endroits possibles. Mon choix se porte finalement sur un établissement « Le Cassandre », pas très loin de Cergy, qui est décrit comme un sex-shop avec petite salle de cinéma et coins câlins. Cela me semble l’endroit idéal pour tenter quelque chose et, si finalement le lieu ne me plaît pas, je me contenterai d’acheter éventuellement une petite lingerie sexy.
Le lendemain, vers 11h30, à peine mon rendez-vous professionnel est-il ...
... achevé dans la société cliente que je rentre dans le Mac-Do situé à côté pour prendre un déjeuner léger. Puis, une fois dans ma voiture, je rentre l’adresse du sex-shop dans mon GPS et me voici en route vers ce lieu inconnu. Il est à peine 12h30 quand j’arrive dans la zone d’activités où est installé l’établissement et je me gare sur le parking à proximité. La grande enseigne « SEX-SHOP » me confirme que je ne me suis pas trompée. C’est avec le trac que je franchis la porte et salue le patron installé à la caisse juste après l’entrée. Il me répond par un grand sourire et un bonjour enjoué. A droite de la caisse, un escalier métallique monte à l’étage mais pour l’instant, histoire de voir un peu l’ambiance, je décide de rester au rez-de-chaussée. Je déambule parmi les rayons, cela ressemble un peu à la boutique de Monsieur Robert à Pigalle. Au fond à gauche, un couloir est tapissé d’étagères remplies de films DVD ; il y en a pour tous les goûts : jeunes minettes à dépuceler, gays pour soirées coquines, femmes matures en manque, partouze en tous genres, lesbiennes au couvent, ... Au fond du couloir, je trouve quelques cabines avec, dans chacune, un téléviseur, un canapé ou un fauteuil rouge et de grands miroirs. Une affiche m’indique que ces cabines sont réservées à celles et ceux qui souhaitent louer et visionner un film dans l’intimité.
Je reviens vers la caisse et je demande au patron
— Est-il possible d’accéder à l’étage ? Où puis-je éventuellement déposer mon manteau ...