1. Partition pour doigts majeurs


    Datte: 30/05/2021, Catégories: fh, ff, ffh, extracon, anniversai, collection, vengeance, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Oral pénétratio, jeu, piquepince, exercice, portrait, délire, héros, Auteur: Cheminamants, Source: Revebebe

    Je vous propose 238 combinaisons possibles qui s’entrecroisent parfois et vous mènent, d’aventure en aventure, à la même FIN. Merci aux correcteurs qui ont patiemment installé les balises, rendant fonctionnels les liens internes à la page pour vous permettre de lire cette histoire à tiroirs (de 25 000 à 50 000 caractères).Les expressions peu connues ont leur signification accolée ou en report.J’aurais souhaité proposer ce texte pour le "Concours 344 - trame imposée" mais - vu sa taille - il se retrouve de ce fait hors concours.
    
    Un bon petit déjeuner, que du bonheur ! Surtout que nous sommes lundi de Pentecôte, le 20 mai 2013 et qu’une grande journée de repos solitaire m’attend, puisque ma femme Béryl reste coincée du côté de Marseille par un déplacement professionnel de quinze jours, sans pause week-end. Té ! Ça va faire dix ans dans quelques jours que je l’ai caligné pour la première fois avec un brin de causette et un autre de lilas blanc. Peuchère, pour offrir le second, j’étais bien nigaud.
    
    Eh bé aujourd’hui, je ne vais pas la plaindre, elle qui retourne de temps en temps dans mon pays natal, alors que je me contente depuis un an de l’autre bout de la France à Bayeux, dans le Calvados. Eh oui, mon nez en face de l’Angleterre et mon verre qui n’a pas besoin de faire fondre un crachat d’esquimau pour noyer mon pastaga, tant l’eau y est froide. D’accord, je galèje un peu, vu que Marseille, c’est Marseille ! Mais pas tant que ça, quand même.
    
    D’un autre côté, ses ...
    ... absences ne me font pas languir, puisqu’elles me permettent de petites compensations. Té, sans chichinettes – les manières, ce n’est pas mon genre – je ne fais pas le mouligasse raplapla quand je peux chasper une main aventureuse par-ci par-là. Et des mignonnes bien tanquées qui passent à portée de cigales juste en tendant le bras, il y en a partout, tant que ma femme ne le sait pas.
    
    En passant devant l’entrée de notre petite maison de ville – té, l’adresse est faite pour moi : rue aux Coqs, en face du grand parking – où nous avons dû migrer pour nous rapprocher de sa famille, je découvre une lettre glissée sous la porte. Bizarre : il n’y a personne dehors, et je n’ai pas entendu sonner. De qui provient-elle ? Je n’en ai aucune idée.
    
    Je l’ouvre et je lis :
    
    Eh, on me prend pour un couilletti, là, ou quoi ? Pourtant, je n’ai pas la tête d’un imbécile. Je la relis en me demandant si je dois y croire, pourquoi elle m’est adressée et qui peut bien être au courant de mon penchant pour les patoches barbues ou épilées de ces dames. À part ma femme qui ignore l’existence de Camille (ma délicieuse maîtresse) et de mes occasionnelles rencontres « extra-maîtressiales », franchement, je ne vois pas. Et puis je me retiens quand même d’avoir de la mine dans le crayon68 trop souvent, pour ne pas éveiller les soupçons. Est-ce que je suis tenté par ce que me promet cette lettre ? Oui, mais… en fait, je n’y crois pas.
    
    Vendredi 24 au soir, mon démon me pousse quand même à tenter ma ...
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