1. Des lesbiennes se partagent un sex-toy très spécial (3)


    Datte: 28/05/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... aucun doute sur l’effet que nous lui avons fait. Léna me force à me pencher pour que je la prenne en bouche. J’en ai le souffle coupé tellement sa verge est grosse et épaisse. Je la lèche un peu en pensant que s’il n’était pas attaché, Claude n’aurait qu’une envie, c’est de me planter son pieu au fond de la chatte.
    
    Je suis de plus en plus excitée car Léna s’occupe à nouveau de mon petit minou, je mouille encore plus et je coule comme une fontaine.
    
    Je suis un peu effrayée malgré l’ambiance très spéciale de cette soirée. Je décide enfin de le chevaucher pour pouvoir contrôler la pénétration de son rostre.
    
    Léna passe un préservatif sur le pénis de son frère. J’appuie son gland contre ma vulve mais ma fente ne s’ouvre pas assez pour laisser rentrer le gland dont la taille me paraît monstrueuse.
    
    Léna prend le tube de lubrifiant que nous réservons pour l’anal et enduit copieusement mon minou et la capote.
    
    Son gland pointe devant l’entrée de mon vagin mais je n’ose pas aller plus loin. Claude - malgré ses entraves - arrive à donner un léger coup de reins.
    
    A ma grande surprise, le gland ainsi que quelques centimètres de la hampe passent le cap fatidique.
    
    Je pousse un petit cri et reste ainsi jusqu’à ce que la dilatation de mes muqueuses me permette des mouvements de va-et-vient plus aisés.
    
    Tout en gardant une bonne moitié du ...
    ... gourdin à l’extérieur de mon vagin, je chevauche cette monture insolite, coulant de plus belle. A ma grande surprise, j’arrive à m’empaler presque totalement sur ce mât démesuré tout en exprimant un plaisir nouveau pour moi par des grognements de satisfaction.
    
    Je me défonce comme une chienne sur sa verge sur laquelle dégouline maintenant mon abondante mouille. A mon grand étonnement, je trouve ça délicieux. La puissance de son épi me perfore le vagin et je sens monter en moi l’orgasme. J’accélère la cadence, me cramponnant à ce que je peux.
    
    Je pose mes pieds sur ses genoux et mes mains sur son torse pour pouvoir manœuvrer encore plus vite et plus profond sur son dard en hurlant tout ce que je peux quand je jouis enfin avant de m’écrouler sur lui.
    
    J’ai bien vingt-cinq centimètres de son formidable engin dans mon corps. J’essaie de reprendre mes esprits mais les filles en ont décidé autrement. Léna s’est agenouillée entre les jambes de son frère et s’occupe de mon clito dardé qui a doublé de volume avec sa bouche et sa langue. Laure et Emilie ne sont pas en reste, chacune d’elles s’occupe d’un de mes seins en excitant les tétons d’une langue habile. Elles ne perdent pas le nord et demandent à Claude de se servir de ses mains pour leur donner aussi du plaisir.
    
    Je commence à geindre de plaisir et râle sous toutes ces sollicitudes.
    
    A suivre... 
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