1. Des lesbiennes se partagent un sex-toy très spécial (3)


    Datte: 28/05/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    — Ne t’inquiète pas, Emilie, la rassure Léna, tu sais, les jeunes ont de la réserve !
    
    Laure et moi, nous nous étendons de chaque côté de Claude, je la vois prendre la main du jeune homme et la poser sur sa fente, je fais de même. Il est très habile et je suis agréablement surprise de son doigté.
    
    Laure s’est tournée vers lui pour lui donner à sucer sa poitrine, elle a des seins énormes.
    
    Il en gobe un et tête le bout.
    
    — Oui, tète-moi comme tu tétais ta mère quand tu étais petit !
    
    La succion est terrible, elle geint à chaque aspiration du mamelon.
    
    — Plus fort... plus fort !
    
    Il accentue son aspiration sur le bout qui devient énorme, le mordille. Ça lui fait aussi de l’effet car je vois poindre entre les cuisses de Claude une nouvelle barre de fer qui, malgré la gravité, gagne de seconde en seconde quelques degrés supplémentaires.
    
    Emilie s’en est rendu compte aussi. Malgré son appréhension pour les hommes, elle chevauche les jambes de Claude, se saisit du mandrin et s’en sert comme d’un gode, frottant ses grandes lèvres avec le gland avant de se laisser descendre, engloutissant dans son vagin une grande partie de ce formidable pénis, la bouche grande ouverte.
    
    On dirait que Claude est déconnecté de ce qui se passe dans le bas de son corps car il ne réagit même pas, ne pensant qu’à continuer de donner du plaisir à moi et à Laure.
    
    Laure veut aller plus loin et a mis dans les mains de Claude deux beaux godes pour qu’il s’en serve sur nous. Léna est en ...
    ... train de filmer trois gouines en train de se faire fourrer par un seul homme avec trois godes exceptionnels mais dont un est fait de chair et de sang.
    
    Mon abricot enflé d’excitation offre une fente et des lèvres plus menues que celles de Laure, mais toutes suintantes et une grosse goutte de mon sirop brille à l’orée de mon vagin et coule sur sa main.
    
    Mais Laure est déchaînée.
    
    — Si tu veux, Claude, tu peux goûter à ma chatte et même en manger !
    
    Elle rampe sur lui pour bloquer le visage de Claude entre ses cuisses pour qu’il puisse d’abord humer. Il trouve la chose très appétissante et fait glisser sa langue sous la houle de Laure de la raie des fesses jusqu’à la perle du clitoris. Il y concentre tous ses soins avant de poser sa bouche plus bas, sur la conque mielleuse qui produit la gluante sécrétion accumulée à l’entrée du vagin. Il goûte par petites lampées timides avant d’aspirer avec gourmandise la cyprine coulant à flots. Laure gémit comme une folle en lui tenant la tête, les yeux mi-clos et la bouche entre-ouverte.
    
    Pendant ce temps, j’ondule du bassin en soufflant fortement car il tient toujours le gode bien ancré en moi. Je serre mes mains sur la sienne, grinçant des dents en faisant de violents allers-retours dessus, marmonnant des mots incompréhensibles.
    
    Quand enfin nous libérons Claude de nos sollicitudes, nous voyons Emilie toujours en train de faire cavalière seule sur son braquemart. Elle souffle comme une forge, se pilonnant sans ménagement la ...
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