1. Un air de passé


    Datte: 14/05/2018, Catégories: fh, copains, intermast, entreseins, facial, Oral 69, fgode, préservati, nopéné, jouet, Auteur: Laelle, Source: Revebebe

    ... fallait attendre au moins un cycle complet avant d’être sûre… et ce cycle n’était pas encore arrivé à sa fin. L’idée, la seule supposition de tomber enceinte de lui, me refroidissait. C’était un bon et bel homme, sexy et charmant à souhait, mais ce n’était pas l’homme de ma vie. Il était au courant de mes dérèglements et des risques engendrés ; il se savait condamné à la capote en cas de dérapage.
    
    Il n’avait pas l’air pressé, et totalement passionné par son travail, il ne relâchait pas le rythme une seconde. Je me tortillais, l’incitant à pousser l’objet plus loin en moi, à me baiser avec le jouet de caoutchouc et à me faire jouir comme mon corps le réclamait. Mes seins étaient durs, les tétons dressés frottant contre mon couvre-lit au rythme des spasmes de mon corps.
    
    C’était une délicieuse torture, un plaisir si intense qu’il en était presque insupportable. Entre mes propres gémissements aigus, j’entendais ses propres râles de plaisir ponctués de commentaires :
    
    — Sexy… vas-y, serre ta belle petite chatte et bouge ton cul, tu vas aimer ça encore plus…
    
    De temps en temps, sa langue venait taquiner mon clitoris dressé, son petit gland tout rouge pointant hors du capuchon gonflé. Je sentais l’orgasme s’emparer de mes sens, gonfler et grandir dans mon ventre, parti du corps dur et flexible, des perles bleues qui frottaient la muqueuse délicate et si sensible qui tapissait mon sexe.
    
    Je sentis mes muscles se resserrer et, en un cri, j’exprimai la tempête dans mon ...
    ... corps et mon cerveau, l’excitation à son paroxysme, le long orgasme féminin qui laisse pantelante et couverte de sueur, les fesses et les cuisses agitées de spasmes. Celui qui réveille les voisins. Joie : je n’en ai pas.
    
    Je m’affalai sur le ventre, le corps soulevé par ma respiration haletante, anesthésiée par la décharge d’endorphine. Le regard brillant et la lippe brillante, il se releva, son sexe étranglé de désir battant la mesure contre son ventre.
    
    Je me léchai les lèvres avec envie en le voyant en cet état. Il avait toujours aimé mes pipes, et sa réaction de tout à l’heure laissait penser que je n’avais rien perdu de mon talent. Je me tournai sur le dos et, allongeant le bras, pris son sexe en main, le massant avec la paume et les doigts, et lui adressai un regard coquin en tirant ma langue percée, la barbel argentée luisant sur la surface rose, lisse et humide. Il ne résista pas à l’invitation et approcha son sexe de ma bouche, l’offrant aux caresses de mes lèvres et de ma langue câlines.
    
    Je le léchai sur toute sa surface en le faisant gémir profondément avant de brutalement l’enfourner dans ma bouche et l’enfoncer dans ma gorge, lui tirant un cri et me récoltant un hoquet de haut-le-cœur. Malgré tout, je persévérai, ma main droite battant la mesure à la base de son sexe, et le pompai de toutes mes forces, serrant son gland contre mon palais avec ma langue, jusqu’à ce qu’il explose d’un long spasme et en m’enfonçant davantage son sexe dans la gorge sous l’effet de ...
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