1. Un air de passé


    Datte: 14/05/2018, Catégories: fh, copains, intermast, entreseins, facial, Oral 69, fgode, préservati, nopéné, jouet, Auteur: Laelle, Source: Revebebe

    ... bronzage et ma peau est d’un ivoire tendre, contrastant avec ma longue et épaisse crinière presque noire tombant sur mes épaules en boucles désordonnées. Je suis une adepte de l’épilation intégrale, détestant l’effet du poil mouillé sur mon sexe et trouvant l’effet plutôt inesthétique, ayant le poil noir et épais.
    
    Certains disent que je suis belle, d’autres sont moins polis. Si je me maquillais et que je me coiffais, je pourrais rejoindre le rang des pétasses… mais je ne le souhaite pas. Je préfère laisser les hommes remarquer mes yeux verts en amande, ma bouche large et généreuse et mon nez droit. Je porte cinq piercings aux oreilles, un à la langue et un au mamelon droit, mes uniques objets de coquetterie.
    
    Lui a toujours été sexy. Grand, brun et bronzé, avec un sourire et un rire contagieux et une longue chevelure châtain frisottée et une petite barbe douce presque blonde, il a de grandes jambes musclées, de superbes fesses fermes et rondes, de belles épaules et un torse naturellement et pratiquement imberbe. Il a une silhouette de sportif du dimanche, svelte et légèrement musclée. Son ventre, sur l’os gauche de ses hanches, est marqué d’un tatouage tribal soulignant sa taille mince et attirant le regard vers son entrejambe… que je sais fort intéressant, même si je ne l’ai pas vu depuis plus de trois ans.
    
    Nos dernières rencontres, bien que chastes, étaient puissamment chargées de sous-entendus. Toutes les occasions étaient bonnes pour se jouer dans les cheveux, se ...
    ... faire des petits massages, se chatouiller, se chamailler… bref, se peloter mine de rien, jouer des orteils en écoutant un film… nous étions en train de flirter, pour ainsi dire, jaugeant où était la limite.
    
    Bien que devant lui je restais calme et souriante, maîtresse de mes moyens, dès qu’il partait ou que je rentrais, je me jetais dans mon lit ou sous ma douche pour m’offrir un plaisir solitaire afin de me calmer, pensant à son attitude éloquente, la mêlant de souvenirs, de tous nos jeux érotiques, de nos nuits moites qui laissaient planer dans la chambre une odeur de sperme et de mon jus, du souvenir de la sensation de sa grosse bite courbée plantée dans ma chatte ou dans mon cul, du rythme infernal qu’il soutenait et des hurlements d’extase qu’il m’avait fait pousser. Je pensais à son orgasme à lui, à son râle et les jets puissants, presque transparents, au goût discret, qui tapissaient ma langue, mes seins ou qui zébraient mon cul rougi et mon anus dilaté par ses assauts… ça, nous avions été de sacrés amants, curieux et endurants, deux amoureux du cul qui s’en étaient donné à cœur joie.
    
    J’avais gardé les jouets que nous avions achetés dans les sex-shop : un grand vibrateur de plastique lisse et rouge, deux petits œufs vibrants, un bidule de caoutchouc bleu alignant plusieurs boules de plus en plus grosses sur une tige souple, des menottes bordées de fourrure, un fouet de cuir à plusieurs lanières et une bouteille d’huile de massage mangeable et chauffante à saveur ...
«1234...10»