1. Le piège et ses suites


    Datte: 26/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Première fois Auteur: charime, Source: xHamster

    ... jouir quand elle pilonne mon corps. Il y a ce foutre qui me noie de plaisir car j’ai osé me caresser pendant que je pompe cette bite si bonne. Ce foutre, tout comme le sandwich, c’est une bénédiction dans ma bouche. Je ne peux m’empêcher de jouir en étalant ce qui a débordé de ma gueule de salope. Je sens aussi la langue de Véro venir lécher ce trop-plein. Ma belle, que j’aimerai t’aimer, te faire jouir jusqu’à plus soif. On relie mes poignes, une main claque violement mon cul avant que mes chevilles soient reliées entre-elles. Cette queue revient à la charge, non pas pour que je la suce, mais pour se soulager. Ma bouche est prête, ma langue sortie et je bois, je me gave en essayant de ne pas en perdre la moindre petite goutte. Pourtant, une autre bouche guette, lèche déjà ce qui coule de chaque côté de mes lèvres, la douce bouche de Véro. Après s’être retiré, la main de mon Maître guide ma tête vers celle dont je suis tombée amoureuse, Véro. Nous nous embrassons longuement avant mon Maître ne me bâillonne à nouveau, me couche à même le sol de bêton. Et c’est à nouveau le silence autour de moi.
    
    Couchée sur le ventre, ma tête imagine, me turlupine, m’angoisse avec ses idées complétement folles. Je crois devenir folle de mon imagination, folle de ne pas savoir, de ne pas connaitre de quoi sera fait demain. À propos, c’est quand demain ?
    
    Ce foutu vibro, il ne s’arrête donc jamais. Il me rend aussi folle que mon imagination. Il m’arrive même de souhaiter mourir pour ne plus ...
    ... sentir cette chose vibrer dans ma chatte devenue encore plus douloureuse que mes fesses et mes seins réunis.
    
    Je ne sais où je suis, sous moi, ce n’est plus du bêton, mais une sorte de moquette ou un tapis, allez savoir. Tout ce que je sens sous mon dos…Yes, je ne suis plus sur le ventre. Me cul remue, c’est un doux tapis que mon cul sent. Et…merde, plus de vibro non plus. Je me retourne, j’y parviens très facilement, même entravée. J’en suis à parier que tout était prévu de longue date, dans mon dos, à mon insu. Je ne peux me retourner plus qu’un demi-tour, à mon collier, une chaine me retient encore. Si mes jambes sont aussi libres, ce n’est pas le cas de mes bras. Je porte encore ma cagoule. Je n’ai plus la moindre notion de temps. Pour moi, cela fait deux jours, une semaine, un mois, qu’est-ce que j’en sais. Je crois que c’est encore pire que le vibro. Une odeur de céréale et de lait parfum mon nez. Oui, il y a une gamelle sur ma droite, j’arrive même à m’en approcher. Je lape, aspire tout ce que je peux, je peux même lécher. Mince, je n’ai plus mon bâillon. Mais alors, je pourrais crier, hurler, appeler du secours. Non, je ne m’en sens pas le droit. Et puis y a Véro, si je me souviens bien, elle m’a demandé de tenir le coup aussi longtemps que possible. Mais si je décide que cela assez duré, se pourrait-il qu’ils m’entendent crier ?
    
    Pour me rassurer, je me mets à chantonner une vieille rengaine apprise à l’école enfantine. Je ne chante pas fort, juste assez pour me ...
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