1. Le piège et ses suites


    Datte: 26/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Première fois Auteur: charime, Source: xHamster

    ... c’est l’enfer sur terre qui se déchaine dans mon corps au point que mes yeux se ferment et que je n’entende plus rien.
    
    Je me réveille en pleine nuit, attachée, posée sur le ventre, le corps en feu dans un silence de mort. Rien ne bouge, je ne vois rien, il fait nuit noir autour de moi. Je ne peux pas remuer, mes membres sont attachés les uns aux autres. Je ne peux pas crier, je suis encore bâillonnée. J’ai soif, je n’ai rien à boire, j’ai faim, rien à manger. Même si, peu à peu, je peux voir des formes autour de moi, je ne sais pas où je me trouve. Dans ma tête, je me fais déjà tout un cinéma. Je me vois vendue à un quelconque homme ou femme pervers, sadique jusqu’au bout des ongles quand soudain, mon corps se met à vibrer. Oh merde, j’ai encore ce foutu vibro en moi et mon corps adore ça qui plus est.
    
    Une porte s’ouvre, un bruit de chaine, je n’arrive pas à me tourner. Une douce main se pose sur mes fesses, elle étale de la pommade. L’autre douce main me retire mon bâillon, une bouche me fait chuuut. Sous ma bouche, je sens cette gamelle, c’est de l’eau, je la vide. Véro en profite pour me mettre une cagoule qui ne couvre que le haut de ma tête, elle s’arrête au bout de mon nez.
    
    - Ma douce chérie, tu subis l’épreuve d’endurance, ne lâche rien, tiens bon. Je t’aime ma douce. Il y a mangé sous ta bouche, c’est du dessert, régale toi.
    
    Un baiser et plus rien, le silence et la nuit.
    
    Je ne sais combien d’heure j’ai passé dans ce lieu inconnu. Si je parviens à ...
    ... garder mon calme, je n’arrive pas à dormir avec ce vibro qui ne cesse de vibrer dans mon corps. Je suis si crevée que je n’arrive plus à avaler ma propre salive. Deux, trois peut-être plus, des jours peut-être, je ne sais plus, le temps, pour moi, s’est arrêté.
    
    La porte située derrière moi s’ouvre, je sens son faisceau de lumière près de moi. Une main rude me retourne, je ne vois l’homme qui me caresse, je présume que c’est mon Maître. Ses mains me délivrent mes jambes, mes bras. Tous mes membres sont engourdis d’être resté si longtemps immobiles. On me lève, je chancelle, on me soutient, on me fait marcher de force. Puis on me pose sur une chaise, on retire mon bâillon avec ordre de faire silence, on me donne boire, à manger, c’est un sandwich. Pour moi, c’est un repas de fête. Deux autres mains viennent laver mon corps, ce sont celles de Véro, ma douce Véro. Quel jour sommes-nous ai-je envie de demander, de hurler. Je me tais pourtant, docile soumise que je suis devenue. Sur mes seins, ces douces mains étalent de la pommade. On me retourne, ces mêmes mains en mettent une bonne couche sur mes fesses, le tout dans un silence monacal. Je porte toujours ma cagoule. Cette bite qui force ma bouche, je la connais par cœur, c’est celle de mon Maître que je m’empresse d’emboucher, de pomper, de sucer si cela peut me permettre de sortir de la nuit. Je suce, l’avale entièrement, passant outre ma luette, plongeant dans mon larynx. C’est bien elle, celle qui me fait si merveilleusement ...
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