Le piège et ses suites
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
Première fois
Auteur: charime, Source: xHamster
... celles de mon enfance. Et pour tout dire, même si je souffre, j’adore. En fait, en quelques heures, je suis passée de la fiancée bien sous tous rapports à une salope de la pire espèce. Autant dire que ce n’était pas une route, mais une autoroute. Enfin, devant nos corps épuisés, nos Maîtres nous rassemblent pour une dernière humiliation, nous pisser dessus. Un peu craintive, voire déjà dégoutée et pourtant, quand Véro colle sa joue contre la mienne, la bouche ouverte, la langue tendue. Je l’imite, reçois les premières gouttes et je me mets à boire directement à la source de Paul et ma Véro à celle de Jean. après cette douche dorée, Véro et moi, nous nous léchons nos corps recouverts de foutre, de pisse, je me délecte de sa chatte quand elle me pisse dans la bouche. Nom d’une moi (PUTAIN), plus je me fais rabaisser, plus j’aime ça, je jouis quand Véro me broute mon minou et que je me soulage à mon tour.
Après quelques heures de sommeil, une douche et une gamelle de céréale, mon Maître m’enfonce un plug de métal dans mon cul avec une jolie de renard qui pend sous une très courte robe prêtée par ma Véro. Dans la voiture, je me rends vitre compte des effets que procure ce genre d’objet et j’adore ce que mon corps vit.
Une petite demi-heure plus tard, en laisse, oups, c’est la toute première fois et en public, mon Jean me guide vers l’entrée de sexshop. Une fois à l’intérieur, je me retrouve avec la robe ouvert, ma poitrine à l’air comme ma chatte. Pire, mon Maître relève ...
... l’arrière pour me poser sur mon plug à queue. Dans ce magasin, je sens tout le poids de ces regards envieux posés sur moi et Véro. Nos Maître nous guident à travers les rayons jusqu’au coin SM et fétichiste. Ce que je découvre me stupéfie, surtout cette longue cravache à l’extrémité très fine que mon Maître prend et m’assène un bon coup sur mon cul. Si je pousse un petit cri, je crois que mon sourire fait qu’il la prend. Il défait mes mains, m’ordonnant de choisir de quoi me punir. MartinetS, cravacheS, paddleS, tout passe. Si je ne prends pas ces boites de pinces à linge, c’est parce que j’en ai plus qu’il n’en faut chez nous. Puis, ce sont les bracelets de cuir, les menottes avec ou sans chaine, court ou longue. J’en prends deux paires pour mes poignets, une sans, l’autre avec chaine. Pour mes cheville, deux avec chaine, une courte et une longue. Mon Maître me montre trois colliers, un en cuir, l’autre en métal et un étrangleur, je pose les trois dans mon panier. Satisfait, mon Maître m’emmène vers le fétichisme et m’habille non sans me faire essayer chaque vêtement devant lui, aux yeux et à la vue de tous. Même Véro n’y échappe pas. si je rougis de honte, ma chatte trempe, même que cela coule sur mes jambes jusqu’à mes pieds. Quand Paul lui montre une grosse menotte toute seule, avec une chaine relativement longue, qu’il montre, sur Véro, où elle se met, mon Maître me la met immédiatement à mon cou après avoir retiré mon collier de cuir. Enfin, le rayon chaussure. Là, il ne ...