Le piège et ses suites
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
Première fois
Auteur: charime, Source: xHamster
... nous.
- T’inquiète, dans la journée, on ira faire quelques achats pour elle. Y a un bon magasin à vingt minutes d’ici, une mine pour tout ce qui est SM. Y a tout, même le superflu. Tu verras et pas cher avec ça. Après, si tu veux une qualité supérieure, il y a un autre magasin qui te propose des cravaches faites à la main, de même pour les martinets et tout ce qui peut habiller une esclave. Pire, à deux pas de la première, y a une boutique de fringue, c’est là que j’habille ma petite pute.
- Ok, ben on verra bien.
- C’est tout vu, mon gars. Viens, je te montre ce que j’ai fait dans le garage et la pièce du fond.
En nous abandonnant, les deux hommes nous quittent pour cette visite. Après une ou deux minutes, Paul nous appelle toutes les deux.
- On y va à quatre pattes, tu verras, ça va te plaire, ma chérie. Me dit Véro avec un large sourire. Ils vont nous fouetter, nous mettre des pinces et peut-être même nous couler de la cire brulante sur nos corps. tu finiras par adorer, ma chérie.
- Parle pour toi, je ne suis pas encore une maso !
- Qui te parle de masochisme ? Pas moi, quoi que. Non, ce que j’aime, c’est après, quand mon Maître m’encule, me baise et me fait jouir.
À quatre pattes, nous rejoignons le garage. Je suis encore une fois sur le cul en voyant ce que Véro appelle le donjon. Pour moi, cela tient plus d’une salle de torture qu’à autre chose. Mais très vite, je suis plaquée contre un grand X par quatre mains très puissantes. Face à ce X, je ...
... suis attachée par mes bracelets et fessée avec une sorte de paddle, je crois que c’est comme ça que ça s’appelle. Dans mon cul, on m’enfonce un truc en métal, il est large, long et on me l’attache à ma taille. Sur ma cuisse, je sens quelque chose de doux. Merde, j’ai une queue de renard dans mon fion ! Quoique… ce soit très agréable surtout quand cette même main se met à le bouger dans tous les sens. Sauf que sur mon dos, entre mes épaules, des lanières frappent durement. J’ai mal en même temps que j’éprouve du plaisir. Ce mélange me met à la limite d’un orgasme. Cet orgasme, je le veux, je le désire plus que tout au monde. Pas loin, une voix pousse des gémissements, Véro est enculée par un gros gode. Quand elle pousse un petit râle très expressif, j’explose comme si tout mon corps se déchirait en milliard de petites particules, comme si mon orgasme me démembrait de l’intérieur, me disloquait, rebondissait dans mon corps. Là, j’étais prête à aller plus loin encore, sans savoir encore jusqu’où ces eux fumiers voulaient que j’aille. Enfin, quand je dis fumier, ce n’est péjoratif, non, loin de là, c’est plus dans le sens affectif. J’aurais très bien pu dire ces deux amours. La bite de mon Jean me défonce ma rondelle juste après avoir retiré cette queue. Il se fait sauvage et jamais je ne l’ai senti aussi brutal dans mon fion. Pire que tout, je me mets à le supplier d’y aller encore plus fort. Plus fort, j’ai eu, sous la forme d’une magistrale grosse fessée, une cuisante. Pire que ...