1. Vide-grenier


    Datte: 14/05/2018, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, humilié(e), odeurs, BDSM / Fétichisme couche, Oral pénétratio, init, Auteur: Tendrbb, Source: Revebebe

    ... pantalon, où elle trouve un obstacle qui ne demande qu’à s’exprimer librement.
    
    Satisfaite de l’effet produit, elle s’agenouille félinement à mes pieds, défait ma fermeture Éclair et plonge sa tête en saisissant mon gland jaillissant. Je vois Sophie me prendre en bouche ; je tressaillis. Sa bouche est chaude et douce. Sa langue s’enroule parfaitement autour de mon membre. La succion devient progressive. Je ferme les yeux et me laisse aller à une puissante érection.
    
    Je suis définitivement sur une autre planète : cette splendide femme me pratique une fellation gourmande, et son derrière dodeline en faisant bruisser l’enveloppe plastique de sa couche. Ma seule frustration étant de ne pouvoir caresser cette surface blanche et envoûtante. Je vacille ; des flashes de notre rencontre se percutent : cartons, diable, yeux verts, café, fauteuil, coffre, couche… Je ne peux plus me retenir… Aaaahhh ! Elle me regarde, souriante, conquérante. Elle est à mes pieds, mais c’est moi qui suis en son pouvoir.
    
    Sophie se relève et part se servir un verre. Je lui dis en plaisantant :
    
    — Attention, ta couche est saturée, il me semble : ne bois pas trop !
    — Tu crois ? T’es juste jaloux de ne pas être langé.
    
    Elle quitte le salon en me disant « Viens ! » Je la suis, et me retrouve dans sa chambre.
    
    — Allonge-toi sur le lit.
    
    À ma grande surprise, plutôt que de me sortir une couche neuve, elle dégrafe la sienne. Un scratch après l’autre. Le dernier défait, elle rattrape le lourd change ...
    ... qui ne demande qu’à rejoindre le sol pour le poser à mes côtés.
    
    — Tu voulais savoir si elle était saturée ? Eh bien je vais te laisser en juger.
    
    Quelle audace chez cette femme : elle ose tout, surtout le meilleur !
    
    Elle me tapote les fesses ; j’obtempère. Mon pantalon m’est retiré et laisse ainsi l’espace nécessaire pour glisser sa couche. Je prends alors pleinement place et sens cette large moiteur sur mon postérieur, qui devient chaleur quand elle referme le change sur mon bas-ventre.
    
    — Eh bien, bébé, on fait moins le fier !
    
    Elle me domine une fois encore, debout, face à moi, et semble apprécier cette posture d’ascendance mentale. Elle bombe son buste, et cela met en valeur sa poitrine encore dissimulée sous sa chemise. Je me redresse tout en restant assis et glisse une main aventureuse sous cette soyeuse étole pour effleurer sa peau. Elle me sourit et défait peu à peu ses boutons, puis laisse voluptueusement glisser le tissu. Son soutien-gorge est écarté dans la foulée en laissant ses globes à ma portée, majestueux.
    
    — Tu les trouves beaux, mes seins ?
    
    « Que diantre, magnifiques ! » Je reste muet de sidération, mais mes yeux qui débordent de désir sont en cet instant, je crois, assez expressifs.
    
    — Tiens ! dit-elle en tendant son sein droit et accompagnant le geste d’une main sur ma nuque pour m’aider à me saisir de son téton.
    
    Son aréole est discrète, et en son cœur le mamelon bien tendu. Sa chair de poule au fil de mes caresses buccales trahit le ...
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