Terma 66 - Omar le rouquin (2) : - Histoires de Sexe

Terma 66 - Omar le rouquin (2) :

... mes besoins et nettoyé mon cul et ma Terma, je suis revenu m’allonger, toujours nu, aux coté de Si Sourdi, dont le zob s’était en partie couché sur sa cuisse. Il était 10h passées et j’avais encore envie de son zob. Alors je l’ai empoigné et commencé à le sucer, le lécher et le branler. Ses couilles aussi me faisaient envie à cause de leur volume et la virilité qu’elles dégageaient. Un peu plus d’un quart d’heure a suffit pour remettre le zob au point. Il était maintenant debout, entièrement gonflé et dur comme un debbouz (gros bâton). Il brillait grâce à ma salive qui l’a lubrifié, et ses veines, aussi gonflées, augmentaient son volume et le rendaient monstrueux, effrayant, mais moi et ma Terma, on le trouvait au contraire, merveilleux , affolant et attirant. Alors, allongé sur le dos, les jambes et cuisses hauts levées et écartées, j’ai invité Si Soudi et son gros et monstrueux zob de se pointer entre mes cuisses et de s’enfoncer dans mon cul, juste sous mes couilles. Et, comme à son habitude, Il introduisit son zob, en force et avec un « han » rauque, sonore, dans mon cul et poussa à fond. J’ai hurlé un bon et long cri, toujours au signal de jouissances de mon cul. Et pendant certain temps, peut-être presque une demi-heure, en tous cas plus longuement que les autres fois, le zob de Si Sourdi m’a étourdi de jouissances. Je fermais les yeux et haletait en phase avec lui et son souffle m’arrivait jusqu’au visage. Je le sentais, les yeux fermés et il ajoutait à mes fantasmes ...

... et à mon plaisir. Pour être à l’aise, j’avais entouré ses reins de mes jambes croisées et parfois, quant une onde de désir plus puissante que les précédentes venait choquer et m’envahir le cul, je donnais une poussée de mes jambes sur les reins de Sourdi pour enfoncer son zob encore plus profondément dans mes entrailles. Ce fut une sodomie, une nikée comme il aimait dire, formidable. Et quant il éjacula, ce fut presque une surprise pour moi qui était dans les vapeurs. Par trois ou quatre jets, il expulsa son sperme, remplissant mes entrailles et semençant ma Terma. Je sentais le volume de son zob qui glissait grâce à ce sperme chaud et visqueux dans mon cul et ça ajoutait à ma jouissance. Nous sommes restés un long moment l’un dans l’autre, presque immobile. J’avais abaissé mes jambes et cuisses et allongé tout mon corps sur le lit, pour gouter ce moment de bonheur et de joie sexuelles. Enfin, il se détacha de moi et créa un vide dans mon cul, ressenti comme une perte, un besoin échappé, une joie coupée. Certes le sperme coulait encore, et le vide laissé par le zob était presque douloureux. Mais il fallait l’accepter. Puis, on s’est levés, péniblement, presque à contre cœur. Il s’est nettoyé avant moi dans les toilettes. Puis ce fut mon tour et j’ai préféré ajouter une douche chaude. En retournant à la chambre, il était déjà midi. On avait niké pendant presque quatre heures ce matin. Si Sourdi était donc à cran et s’est très bien comporté.

On a préparé de quoi manger et on ...