1. Terma 66 - Omar le rouquin (2) :


    Datte: 24/05/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Noura, Source: Hds

    Mais à 30 ans, c’était difficile de continuer à refuser sous peine d’attirer leurs soupçons. Il y avait une jeune fille de mon oncle paternel qu’ils m’avaient toujours destinée, alors, j’ai enfin accepté de me marier après leurs tentatives durant ces 5 années . En réalité, c’était Moussa, mon patron et maître de ma Terma, qui m’avait persuadé, bien avant, de laisser pousser une petite barbiche et des moustaches, pour éloigner les soupçons. C’était aussi pour éloigner les dragueurs et destiner mon cul seulement à lui. Mais maintenant il m’a ordonné d’accepter de me marier, avec un double objectif, camoufler mes tendances homosexuelles et avoir une vie familiale plus ou moins normale. Bien entendu, les relations de son zob avec ma Terma resteraient inchangées. Et en effet, j’ai eu une vie familiale presque normale, pendant au moins 8 ans. En plus, sur aides et conseils de Moussa, j’ai fait des affaires, en louant un magasin de vêtements pour enfants, puis assez enrichi, j’ai acheté une petite maison pour ma famille. Mes relations sexuelles avec le zob de Moussa, quoique plus espacées qu’avant, n’ont donc jamais cessées et , parfois, avec son parent Si Sourdi. Ces deux hommes représentaient mon univers sexuel et contentaient les désirs de ma Terma. Entre temps, Moussa s’est aussi remarié avec une parente et a eu deux enfants. Dès qu’il avait envie de mon cul ou c’est moi qui avait besoin de son zob, j’allais le rejoindre, à la fermeture, au fond de son magasin, et il me ...
    ... faisait une ou deux sodomies bien éjaculées, en vitesse. Et quant Moussa réussissait à envoyer sa femme et ses enfants chez ses beaux parents, même pour une journée ou une nuit, je m’éclipsais de chez moi, avec excuse de voyage d’affaires, et j’allais coucher chez lui, dans son lit. Alors, complètement nus, libres, sous un seul drap comme dans le temps, on passait toute la nuit à niker jusqu’à l’aube. C’était la fête pour son zob et pour ma Terma. Ces sodomies, en cachette de ma famille avaient un gout de danger qui amplifiait mes fantasmes et mes jouissances. Vous savez que j’avais couché en cachette, avec Sourdi, le parent de Moussa, dans la maison de ce cernier. Je croyais que ce dernier l’ignorait, mais un jour, il m’avoua qu’il le savait. Il m’a dit que lorsque Sourdi m’avait niké à l’aube, nos gémissements assez sonores l’avaient réveillé et il nous a vus, l’un dans l’autre, tout nus, mais il s’est recouché sans en parler à moi ni à son parent. Je pensais qu’il serait jaloux ou fâché, mais non, il m’avoua que cela lui plaisait que ce soit son parent qui goutait la douceur de mon cul, et il en souriait même. Puis, réfléchissant un moment, son idée va plus loin, me proposant, pour rire, une séance à trois, donc de coucher et niker avec lui et Si Sourdi, chez lui, dans le même lit. C’était peut-être une blague osée, mais elle m’a fait fantasmer et a eu vite des effets très agréables dans mon corps, et mieux dans ma Terma. Alors j’ai répliqué que cela, au contraire, me plairait ...
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