1. Comme dans un labyrinthe


    Datte: 24/05/2021, Catégories: fh, grp, campagne, parking, fsoumise, miroir, Oral pénétratio, double, fdanus, Partouze / Groupe Auteur: Ugluk, Source: Revebebe

    ... repoussant vigoureusement des deux mains :
    
    — Non, mais, pour qui me prenez-vous ? Ce qui s’est passé…
    
    Je n’ai pas le temps de terminer ma phrase. Le garçon, déséquilibré par mon assaut, trébuche sur une pierre et tombe en arrière. Tentant d’éviter la chute, il s’agrippe à mon bras, mais ne parvient qu’à m’entraîner avec lui et nous heurtons sèchement le sol. Ma colère ne fait qu’empirer alors je me rue sur Yoanne, abasourdi, qui se laisse terrasser. Je bloque ses bras avec mes jambes et pèse de tout mon poids sur son torse tandis que mes mains lui saisissent fortement les épaules. Je continue immédiatement ma mise au point :
    
    — Ce qui s’est passé l’autre jour ne vous donne aucun droit sur moi. Je n’étais pas dans mon état normal et je vous conseille de tout oublier…
    
    Je prends soudain conscience que Yoanne pourrait aisément me renverser s’il le souhaitait ; or il ne présente qu’une résistance bien symbolique face à mon agression. Il se débat un peu et, dans la lutte, mes mains touchent sa peau. Je plaque mon buste contre son torse pour garder l’avantage. Dans ce drôle de combat, chaque contact provoque la révolte de mes sens contre ma volonté. Une contraction sans équivoque noue le bas de mon ventre, mes seins deviennent sensibles, mes forces m’abandonnent…
    
    Piégée !!! Je suis piégée ! Je me rends compte à quel point je suis naïve d’avoir foncé tête baissée dans ce guet-apens. Yoanne m’a volontairement provoquée, car je suis certaine qu’il a deviné la nature du ...
    ... mal qui me ronge. Je suis sûre que son instinct de mâle lui a fait sentir mon tourment intérieur. Libido contre pudeur. Yoanne a choisi son camp, alors je sais que je suis perdue. Je signe ma reddition en me redressant pour laisser mes mains caresser les pectoraux fermes et bien dessinés du garçon. Maintenant assise sur le bas de son abdomen, je reçois le coup de grâce en percevant clairement, à travers le tissu, la rigidité impudique de son membre. Ma libido jubile et fête sa victoire par une décharge de cyprine qui inonde ma pauvre petite culotte. Je glisse mon bassin jusque sur les cuisses de Yoanne frottant au passage l’intérieur de mes jambes contre le renflement prometteur.
    
    En quelques instants, la virilité palpitante de Yoanne se retrouve à l’air libre, assaillie par mes doigts frivoles et clairement déterminés dans leurs caresses. Ma bouche prend leur relais pendant que je me tortille comme un ver au bout d’une ligne en me libérant de mon pantalon et de mon slip. Je suis complètement possédée par l’envie sexuelle qui vient d’exploser en moi. J’éprouve un besoin vital de satisfaire aux rites du sexe, et ma pudeur est déjà sacrifiée à l’autel du désir. Seule une bonne jouissance pourra m’exorciser et me faire retrouver ma raison. Sans plus de préliminaires, je chevauche Yoanne et m’installe juste au-dessus du pieu, luisant de salive, qui se tient raide et tendu vers les cieux. En quelques mouvements du bassin, je positionne le gros gland rose entre les replis trempé de ...
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