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Comme dans un labyrinthe
Datte: 24/05/2021, Catégories: fh, grp, campagne, parking, fsoumise, miroir, Oral pénétratio, double, fdanus, Partouze / Groupe Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... tourmente et me témoigne-t-elle ainsi sa désapprobation face à mon attitude impardonnable ? Nous nous éloignons rapidement de l’Ermitage et de son ambiance décidément trop pesante pour moi. La campagne, pourtant surchauffée par un soleil de plomb, m’apparaît soudain comme une bouffée d’oxygène dont les bienfaits agissent directement sur ma raison. Je peux enfin tenter de mettre un peu d’ordre dans mon esprit. J’essaye tout d’abord d’exorciser le mal qui me ronge en portant toute la responsabilité de mon état sur les épaules de Julien. Je me dis qu’il faut que je cesse de voir ce garçon, car il me fait perdre la tête, et je réalise maintenant combien je suis idiote d’avoir fait une fixation sur les défauts des membres de ma famille plutôt que de profiter pleinement de leur présence et de mes derniers jours de vacances. Après deux ou trois kilomètres de réflexion, je finis par comprendre que je suis la seule responsable de cette obsession sexuelle qui me ronge. Le désir qui couve au fond de mon ventre et que j’ai tant de mal à contenir, c’est moi seule qui le fais vivre. Le plaisir que Julien m’a offert a allumé ce feu. Depuis, j’ai peur qu’il ne s’éteigne et que je ne puisse plus me brûler aux flammes de cette sexualité passionnée issue de notre rencontre. Il est tellement surprenant et imprévisible que ses promesses n’ont fait qu’attiser les flammes qui brûlent mon âme. Je lutte pour chasser les fantasmes sexuels qui hantent mes pensées, mais je suis impuissante face ...
... au désir physique qui a pris possession de mes sens. Les secousses du trot de Tarentelle irradient mon sexe, ma poitrine est gonflée dans mon soutien-gorge et semble vouloir se libérer en déchirant le tissu sous la pression des pointes durcies de mes tétons. Toutes mes zones érogènes sont en alerte, réceptives à la moindre sollicitation. À chaque secousse, chaque frottement du tissu sur ma peau, chaque contraction involontaire de mes muscles, je dois lutter pour ne pas succomber à l’emprise du désir sur ma raison. J’ai chaud. xxx La silhouette majestueuse des grands chênes bicentenaires m’annonce que je vais bientôt pouvoir me réfugier à l’ombre de la forêt. Je pousse Tarentelle à accélérer encore l’allure afin d’échapper rapidement aux rayons du soleil qui me brûlent. Le sentier est étroit, son tracé résistant à peine à l’abondante végétation de fougères et de ronces qui cherchent à le submerger. Peu à peu, les châtaigniers et quelques acacias ont remplacé les chênes. J’arrive au ruisseau. Je mets pied à terre et m’agenouille sur une grosse pierre plate pour plonger mes mains dans l’eau, afin de m’asperger le visage et le torse de cette eau presque glacée qui clapote entre les cailloux. Tarentelle se désaltère dans un grand bruit de succion qui m’amuse. Brusquement, le rugissement strident d’un moteur de tronçonneuse vient perturber la quiétude des lieux. Tout d’abord agacée, je cède finalement à la curiosité d’aller voir qui se permet de venir couper du bois dans nos ...