Comme dans un labyrinthe
Datte: 24/05/2021,
Catégories:
fh,
grp,
campagne,
parking,
fsoumise,
miroir,
Oral
pénétratio,
double,
fdanus,
Partouze / Groupe
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... curiosité, dans les miroirs, le gland qui se positionne entre les pétales de ma féminité. Je suis impatiente de le recevoir en moi. Il s’attarde, me fait languir. Pour chacune des images que je vois sur les murs, j’ai l’impression qu’il y a autant de sexes qui s’apprêtent à me pénétrer. Je suis tellement excitée que je pousse un soupir de plaisir violent lorsque Julien se décide enfin à m’investir. Mes muqueuses sont si sensibles qu’à chaque mouvement du phallus, j’ai peur de jouir prématurément. Julien va lentement, profondément, se dégage entièrement pour replonger jusqu’au fond de moi en forçant à chaque fois l’entrée trop serrée de ma vulve. Je suis subjuguée par l’image des fesses de Julien qui se contractent à chaque assaut, me révélant ainsi deux adorables petites fossettes. J’admire également les muscles de son dos qui se dessinent sous la peau déjà luisante de sueur. Mes yeux sont à la fête. Ils se régalent de découvrir tous les mouvements du corps de l’homme qui me besogne avec vigueur. Le relief des abdominaux et des pectoraux de mon amant prennent un relief fascinant lorsque je les observe dans les miroirs.
Je suis complètement sous le charme de tous ces muscles, unis dans un effort commun dont le but est de s’emparer de mon corps afin d’y puiser l’orgasme et de m’entraîner dans cette tourmente de la jouissance. Je ressens une excitation rarement atteinte. J’éprouve de plus en plus de difficultés à maîtriser la montée de mon plaisir. Ma vue se trouble face à ...
... toutes ces images torrides… Je perds mon souffle… Julien emballe le rythme… À mon tour, je contracte mes muscles pour qu’ils ne fassent plus qu’un autour du pieu qui m’ébranle. Les veines de Julien saillent sous sa peau ruisselante, son membre devient encore plus gros, plus dur… Je voudrais le vérifier de visu, mais je parviens difficilement à distinguer le pilon humain qui se déchaîne entre mes cuisses. Mes oreilles bourdonnent, mes entrailles se nouent, tous les miroirs m’offrent des images à peine soutenables qui me font tourner la tête… Je suis témoin de ma propre jouissance. Un plaisir d’une extrême puissance me ravage, je ne suis plus femme, mais femelle en rut, je mords, je râle, je griffe, je crie… Julien m’assène les coups de grâce, devenant délicieusement brutal en se répandant tout au fond de moi…
xxx
Malgré l’arrivée de mon oncle Gilbert et sa famille, l’ambiance de mes vacances à l’Ermitage a basculé dans la mélancolie. Il faut dire que Julien occupe tellement mes pensées que tout ce qui se passe autour de moi m’apparaît comme autant de petites agressions à ma tranquillité et d’obstacles à mes rêveries. Et puis Isabelle est repartie, si bien que j’ai perdu la seule personne à qui j’aurais pu me confier et partager un peu de ce qui me bouleverse intérieurement. Elle au moins pourrait me comprendre. Rien à voir avec mes cousins, tout juste sortis de l’adolescence et qui ont le don de m’exaspérer. Ces deux grands gringalets d’Antoine et Frédéric n’arrêtent pas ...