Comme dans un labyrinthe
Datte: 24/05/2021,
Catégories:
fh,
grp,
campagne,
parking,
fsoumise,
miroir,
Oral
pénétratio,
double,
fdanus,
Partouze / Groupe
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... chaleur moite de mon ventre tandis que d’autres débusquent mon clitoris et y entament une ronde diabolique qui l’embrase. Je sombre… Oubliant toute réticence, ma bouche s’entrouvre et ma langue part s’encanailler entre les replis survoltés des petites lèvres de la jeune femme. Celle-ci pousse un gémissement sans équivoque en guise de remerciement. Je découvre, sous ma langue, combien les chairs intimes d’une femme sont douces, chaudes et délicates. Je m’imprègne de son odeur suave ainsi que de la saveur musquée de la lubrification que le phallus extrait du plus profond de son ventre. À mon tour, je localise le bouton sensible, déjà fortement tourmenté par les mouvements toujours réguliers et puissants de l’homme. Je me mets à sucer ce petit appendice de chair avec application et douceur. Je le fais d’autant mieux que je peux aisément comprendre ce que de tels attouchements engendrent, car le même petit bouton sensible palpite entre la fourche de mes cuisses. Je débusque le clitoris de ma partenaire de la pointe de la langue. Je m’attarde un peu sur toute la zone sensible qui le protège avant de l’aspirer, de le pincer du bout des lèvres, puis je le noie de salive et le titille fougueusement. La jeune femme s’agite en prenant quand même soin de ne pas s’échapper de ma bouche bienfaitrice. L’homme redouble maintenant de vigueur et la cadence de son assaut est désormais soutenue. Je les accompagne dans cette folle envolée.
Soudain, on m’empoigne vigoureusement les hanches. ...
... Je suis presque soulevée, manipulée comme un vulgaire mannequin en plastique. On me positionne à genoux, là, bien cambrée, la croupe outrageusement offerte et moi, docilement, je me laisse faire. Des mains continuent à prodiguer à mon corps de délicates caresses qui n’ont rien d’innocentes. Je n’éprouve pas la moindre surprise lorsqu’un membre se positionne à l’angle de mes cuisses, cherchant impatiemment à investir le fourreau de mon ventre chauffé à blanc par cette expérience nouvelle. L’homme m’écarte à me faire mal, puis il s’enfonce d’un seul coup et va heurter le col de mon utérus. Il m’est impossible de retenir un cri d’effroi et de plaisir face à cette violence. J’ai l’impression que le membre est énorme et qu’il m’a déchiré la vulve. La sensation est si vive que je suis incapable de dire si c’est le plaisir ou la douleur qui est le plus fort. Durant un instant, je me sens coupable de la pire des infamies, car ce que je ressens est tellement immoral. Pourtant ce mélange de violence, de volupté et d’anonymat est si délicieusement pervers… Je m’applique toujours à donner des coups de langues saphiques, cherchant à émouvoir ce sexe, si comparable au mien.
J’imagine combien ma bouche peut offrir un petit plus au plaisir que le phallus distille déjà par ses mouvements ravageurs. Je me sens totalement solidaire de cette fille, d’autant qu’à mon tour, je subis les va-et-vient vigoureux d’un homme. Je suis presque déçue de ne pas avoir, moi aussi, une bouche complice collée ...