Comme dans un labyrinthe
Datte: 24/05/2021,
Catégories:
fh,
grp,
campagne,
parking,
fsoumise,
miroir,
Oral
pénétratio,
double,
fdanus,
Partouze / Groupe
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... ruisselant jusqu’à ce qu’il perde de la vigueur et que je ne le sente plus s’imposer aux muscles écartelés de mon vagin. Une vague de panique me submerge brusquement. J’ai l’impression de revenir sur Terre et je me retrouve crûment face à la réalité et la gravité de mes actes. Je me dégage en un éclair, attrape mes vêtements et m’habille à la hâte en récupérant Tarentelle. Lorsque Yoanne se relève enfin, je suis déjà sur ma monture. Je ne parle pas, mais mes yeux et l’expression de mon visage doivent suffire, car Yoanne acquiesce et tente de me rassurer :
— O.K ! Inutile de paniquer, je serais muet comme une tombe…
Déjà je ne l’entends plus, quittant au galop la clairière, couchée contre l’encolure de Tarentelle pour éviter les branches épineuses de quelques acacias indisciplinés.
xxx
À peine sortie des écuries où je viens de ranger ma selle, je tombe sur Marie-Rose.
— Tu as fait une bonne promenade ? me demande-t-elle.
— Très agréable ! Je vais prendre une douche et j’irai mettre Tarentelle au champ un peu plus tard.
— Ne l’emmène pas auprès des trois chênes, la clôture est cassée et Yoanne est en train de la réparer.
— Oui je…
— Ha ! Tu l’as rencontré ?
— Heu ! Non !!! Je suis juste passée par ce pré et j’ai vu la clôture…
J’abrège volontairement cette conversation qui me met très mal à l’aise, car je revois intérieurement la scène de la clairière. J’ai peur de me trahir en laissant apparaître mon trouble alors je file illico sous la ...
... douche.
xxx
Ma petite aventure dans les bois m’a permis de passer sereinement le reste de la semaine. Bien sûr, tous les jours j’ai pensé à Julien et à ses promesses, mais ce n’était plus une obsession incontrôlable.
Cette fois, ça y est. Nous venons de déjeuner tous ensemble pour la dernière fois, car je pars tout à l’heure. Il n’a pas été facile de feindre la tristesse habituelle que j’affiche à la fin des vacances alors qu’au fond de moi, je suis excitée comme une puce à l’idée de retrouver bientôt Julien.
— Tu pourrais partir demain matin, m’a suggéré mon oncle.
— J’aimerais bien, mais ce ne serait pas raisonnable, ai-je répondu hypocritement en faisant une moue navrée. J’ai un dossier important à préparer pour mon travail. Je suis à ce poste depuis peu de temps et mon patron est très exigeant, il ne faudrait pas que je le déçoive…
— Tu as raison, intervient ma tante. Avec la route que tu as à faire, il vaut mieux partir aujourd’hui, comme cela, demain tu seras parfaitement reposée pour te plonger dans tes dossiers.
Un regard furtif de Marie-Rose me fait douter qu’elle croit en l’excuse que j’ai donnée pour quitter prématurément l’Ermitage.
Je charge rapidement mes valises dans le coffre de ma voiture tandis que mes cousins, toujours égaux à eux-mêmes, se chamaillent bruyamment au bord de la piscine. Je dis au revoir à tout le monde et profite de l’occasion pour bousculer insidieusement Antoine et Frédéric, les envoyant tous deux droit dans l’eau de la piscine. Ils ...