1. Vive la vie


    Datte: 24/05/2021, Catégories: fhh, hplusag, médical, totalsexe, h+medical, Auteur: Claire, Source: Revebebe

    ... nous faisions l’amour près d’un parc en limite de la ville. Pour pimenter la chose, on avait laissé les vitres baissées et ce qui devait arriver arriva. Alors que j’étais en train de sucer mon homme, les fesses relevées à hauteur de la vitre passager, je sentis deux mains remonter le long de mes cuisses. Je me suis immobilisée, mais Marc m’a doucement posé la main sur la tête, me signifiant ainsi de continuer. Il a tendu un préservatif à l’inconnu, qui m’a tout simplement enculée comme je l’aime, avec rudesse et vigueur. D’ailleurs au moment où j’ai joui, car oui, j’ai souvent des orgasmes anaux, Marc a bien senti mes dents contre sa bite, il en a même profité pour m’arroser les amygdales. L’homme a disparu, je ne l’ai même pas vu, Marc a remonté les vitres et nous sommes partis chez lui pour finir.
    
    Là, il me raconta que je m’étais fait prendre par un jeune, après c’était un Noir et finalement un clochard… En définitive, je ne sais toujours pas aujourd’hui qui a profité de la chaleur de mes fesses et c’est le cadet de mes soucis. La seule chose importante que je sais, c’est que cela a stimulé suffisamment notre libido pour faire l’amour la moitié de la nuit.
    
    La fois suivante, c’était sur une aire ...
    ... d’autoroute en rentrant de Paris, à la différence fondamentale que c’était ma tête qui dépassait de la vitre et que c’était le sexe de Marc qui me fouillait le fondement et comme vous pouvez vous en douter, c’est ma bouche qui servit à vider les couilles d’un gros barbu qui faisait des commentaires assez vulgaires sur mes qualités de suceuse, commentaires qui ne manquèrent pas de motiver mon hommes qui sortait intégralement de mon petit trou pour s’y enfoncer ensuite comme j’aime.
    
    L’homme en aurait voulu plus, mais nous sommes partis assez rapidement, chez moi cette fois-là où j’ai tendu à Marc deux paires de menottes, souvenir d’un été épique, pour m’attacher à poil aux barreaux du balcon. Il ne faisait pas franchement chaud, j’avais la chair de poule et les tétons tendus au possible, mais il m’a prise en levrette tout en me coinçant un gode entre les fesses. S’il ne m’avait pas mis la main devant la bouche, j’aurais réveillé la moitié du quartier.
    
    Il est impensable pour moi de recommencer cela chez moi, car j’imagine assez mal la réaction des voisins, déjà qu’avec les tenues que je porte parfois pour sortir, ils sont sûrs que ce n’est pas pour aller à l’église…
    
    La suite à venir.
    
    Bisous.
    
    Claire 
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