1. Vive la vie


    Datte: 24/05/2021, Catégories: fhh, hplusag, médical, totalsexe, h+medical, Auteur: Claire, Source: Revebebe

    Je m’appelle Claire, j’ai vingt-trois ans et je suis infirmière depuis deux ans dans une clinique en Normandie.
    
    C’est en septembre 2005, alors que je sortais d’une histoire d’amour qui m’avait laissée le cœur brisé en mille morceaux, que j’ai rencontré Marc, quarante-deux ans, hospitalisé après un accident de voiture. Il avait les deux bras dans le plâtre et la tête déguisée en œuf de paques suite à un traumatisme crânien. Malgré la situation ridicule dans laquelle il se trouvait (il fallait le faire manger, le laver, lui faire faire ses besoins), il me faisait un rentre-dedans pas possible et je trouvais cela rigolo. Il avait le mérite de me faire rire, après un mois et demi de dépression.
    
    Au début, mes soins étaient totalement médicaux, mais les jours passant je suis rentrée dans son jeu, l’allumant verbalement quand je répondais à ses allusions ou lui permettant d’apercevoir un bout de sein ou de fesse, et bien sûr, je le laissais sur sa faim. Quatre jours de ce traitement et il a taché les draps sans les mains. Je n’étais pas peu fière de moi ! Il faillit commettre l’irréparable en me proposant une somme d’argent pour que je le décongestionne un peu, ce que je refusai bien sûr, lui répondant que je n’étais pas une pute.
    
    — Par contre, quand tu seras remis, je te laisse la porte ouverte pour une invitation au restaurant, et plus si affinité.
    
    Joignant le geste à la parole, j’inscrivis mon numéro de portable sur son plâtre et je retirai mon slip pour le lui ...
    ... passer sous le nez. Résultat, il déchargea contre mon bras. J’ai passé les doigts dessus avant de les porter à la bouche. Il était à la limite de la syncope. C’était la dernière fois que je le voyais à l’hôpital car il sortit deux jours plus tard alors que j’étais en RTT.
    
    J’eus de ses nouvelles trois semaines plus tard, alors qu’honnêtement je l’avais presque oublié, parce qu’il me demanda si ma proposition de dîner avec lui était toujours de mise. Je savais pourtant que la seule chose qui l’intéressait était de me sauter, mais j’acceptai quand même, soignant même particulièrement l’emballage. Je fus agréablement surprise : tout d’abord il avait sorti le grand jeu, bouquet de roses, belle voiture, super restaurant et pour ne rien gâcher il était d’une très bonne compagnie, drôle et charmeur. Peut être que vous aurez du mal à le croire, mais ce soir-là j’ai dormi toute seule dans mon lit !
    
    Je vais quand même vous le décrire : il a quarante-deux ans, il est brun, mesure un mètre soixante-quinze, est divorcé depuis deux ans, a plutôt une allure sportive et, cerise sur le gâteau, il est plein aux as. Je l’ai eu plusieurs fois au téléphone et je me suis permis de lui demander s’il n’avait pas eu envie de moi après le restaurant. À quoi il répondit qu’il en salivait depuis qu’il était sorti de l’hôpital, mais qu’il voulait que ce soit spécial et désiré par les deux. Il ne fit pas les choses à moitié, m’invitant pour six jours à l’île Maurice en pension complète. Il eût pour seule ...
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