1. Le journal d'une veuve (3)


    Datte: 22/05/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... main et m'a dit : "viens par là".
    
    Nous sommes passés devant une chambre totalement éclairée et j'ai compris pourquoi "Jim" m'y avait conduite. Couchée en travers du lit, Marianne, entièrement nue, s'offrait à la bouche vorace de "Jules", littéralement collée à sa vulve. Elle se tordait comme un ver en gémissant, levant parfois la tête pour l'observer dans sa succion puis la faisant retomber sur le lit, en pleine extase. "Tu vois, ta copine, elle baise", me dit "Jim". C'était difficilement contestable. On les a regardés quelques minutes, j'étais fascinée par le travail de la bouche du jeune homme. J'avais entendu dire que les Noirs sont les rois du cunni et ce ne serait sûrement pas Marianne qui dirait le contraire. La main de "Jim" s'est glissée sous mon corsage et m'a dégrafé le soutif. "J'adore tes lolos", m'a-t-il dit en les empaumant par derrière. J'étais archi mûre, d'autant que j'avais maintenant une vue plongeante sur le petit cul de "Jules " qui tournicotait entre les cuisses dodues de Marianne avec une incroyable souplesse, la faisant bramer de plaisir. J'aidais "Jim" à me débarrasser de ma culotte et il me conduisit dans le salon avec, je le suppose, l'idée de me prendre sur le canapé. Mais il était déjà occupé. Fatou et Boubacar s'y trouvaient en plein 69. Je fus littéralement suffoquée d'abord par le volume du pénis que Fatou faisait coulisser avec volupté dans sa bouche, ensuite par le volume de son fessier qui recouvrait presque totalement le visage de son ...
    ... mari, à se demander comment il faisait pour respirer. "Tu veux les regarder ?" me demanda Jim. C'était effectivement un spectacle étonnant et j'avoue que j'ai fait un moment passer mon plaisir visuel en priorité.
    
    Boubacar s'est assis sur le canapé et Fatou s'est empalée sur lui, d'abord de face et de voir sa croupe danser la samba sur l'axe de chair m'a mise au bord de l'orgasme. Puis elle s'est retournée et elle nous a fait face, pieds au sol, se laissant tomber sèchement sur la bite géante. Elle était rayonnante et nous a lancé : "Qu'est ce que vous attendez pour en faire autant, espèces de voyeurs ?"
    
    Dans la foulée, si je suis dire, j'étais nue sur la table où nous avions mangé et "Jim" m'enfilait dûment capoté, debout, mes jambes autour de ses reins. Je n'ai même pas eu le temps de voir sa queue. Il y avait un siècle que je n'avais pas été prise sur une table. J'avais oublié à quel point le pénis pénètre aussi profondément, aussi efficacement, dans cette position. J'ai hurlé de plaisir, le suppliant de ne pas s'arrêter. Je sentais ses grosses couilles battre contre mes fesses. Nos nez se touchaient presque. La table bougea pour se coincer contre un placard et une fois calée, la pénétration se révéla encore plus puissante. Mes cris se mêlaient à ceux de Fatou, désormais besognée en levrette, à ce que je pouvais constater en jetant un oeil de côté. Cela dut donner des idées à "Jim" car il me fit descendre par terre et me prit par derrière avec vigueur, faisant remuer ...