Le journal d'une veuve (3)
Datte: 22/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... tard, Fatou, la sculpturale directrice adjointe d'origine sénégalaise, m'a abordée pour m'inviter à venir participer à une petite soirée avec quelques compatriotes, "très africaine", m'a-t-elle précisé. J'ai dit d'accord mais que ça m'embêtait d'être la seule blanche et je lui ai proposé de venir avec Marianne, qui s'ennuie à mourir chez elle. Elle a accepté et Marianne a sauté de joie. "J'adore la bouffe africaine", m'a-t-elle dit.
On s'est donc rendu un samedi soir chez Fatou, qui nous a accueilli en boubou. Elle nous a présenté son mari Boubacar, un grand costaud qui lui était parfaitement assorti. Deux jeunes mecs bien balancés étaient également présents mais j'ai oublié leur prénom, disons Jules et Jim pour rigoler. Mais pas d'autre nana que Fatou. Cela m'a mis d'emblée la puce à l'oreille et quand je dis l'oreille... D'ailleurs, les deux jeunes mecs (ils devaient avoir autour de 25 ans) se sont mis à nous draguer et j'avoue que ce n'était pas désagréable. Je suis tout le contraire d'une raciste. J'aime les peaux noires et je me régalais à voir courir Usain Bolt, le plus beau mec que j'ai jamais vu. En plus, c'était assez flatteur pour Marianne et moi vu qu'on avait en gros le double de l'âge des deux garçons.
Bref, on est passé à table et Fatou avait bien fait les choses. On piquait dans les multiples plats proposés tout en picolant un breuvage délicieux mais très alcoolisé. J'avais le feu aux joues et pas seulement aux joues. Fatou et Boubacar s'embrassaient ...
... souvent et je crois bien que la main de l'homme se baladait sous la table entre les cuisses de la directrice adjointe, à en juger par ses petits cris. Quant à Marianne, elle se laissait peloter les seins à travers son léger top par le dénommé Jules et faisait mine de lui taper les mains. Son copain était moins entreprenant avec moi par le geste mais pas par la parole. Il m'a murmuré à l'oreille : "J'ai envie de toi, tu me fais kiffer grave". Je lui ai demandé s'il n'avait pas une copine de son âge, pensant calmer ses ardeurs mais il m'a répondu que son "trip", c'était les femmes mûres et que je ne serais pas déçue. Pendant qu'il me baratinait que je faisais mine de le décourager (car en fait, j'avais l'entrecuisses en ébullition), j'avais un peu perdu de vue le reste de la table. Marianne et "Jules" avaient quitté les lieux, je ne les voyais plus. Fatou et Boubacar étaient en train de débarrasser en allant de la salle à manger à la cuisine mais l'homme mettait systématiquement la main aux fesses (rebondies) de la femme qui gloussait comme une ado. Je ne pouvais pas louper la formidable excroissance sur le devant du pantalon de Boubacar. "Ils ne vont pas tarder à faire l'amour", me chuchota à l'oreille "Jim". Il devint alors plus entreprenant. De mon genou, sa main gagna ma cuisse nue puis ma culotte : "Putain, tu mouilles", me dit-il. Mon attitude était un peu ridicule. Je résistais à ses avances alors qu'il avait la preuve formelle que j'avais envie de lui. Alors, il m'a pris la ...