1. Ma femme et le puceau


    Datte: 21/05/2021, Catégories: h, fh, jeunes, cocus, inconnu, Collègues / Travail sales, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, pied, Oral fist, Auteur: AlainC, Source: Revebebe

    ... malgré sa jouissance. N’étant plus apte à contrôler sa débordante excitation, il me redressa avec force et m’assit sur le plateau du bureau. J’en perdis mes escarpins. Il bandait ferme, malgré sa précédente éjaculation. Il m’agrippa par les pieds pour m’attirer contre lui. Ma vulve buta contre le gland qui me tamponna. Sa verge s’enfila carrément dans mon vagin, m’arrachant un cri de douleur. Le gland épais me distendait.Le corps secoué d’un long tressaillement, il s’était immobilisé. Seuls ses doigts s’agitaient au creux du sillon velu de mes fesses qu’il maintenait écartelées. Il lissa les fronces de mon anus. Haletante, je fermai les yeux. Mon bassin en suspens, je tremblai de la tête aux pieds. Au bout d’un moment, je soulevai les paupières et lui fis signe que tout allait bien. Dans mon fourreau brûlant, des spasmes comprimaient la verge qui s’était remise en mouvement. Les couilles poisseuses du garçon claquaient mon périnée. Alors, sans plus se soucier de mes gémissements plaintifs, il se déchaîna, faisait aller et venir son sexe dans mon puits d’amour. Je ne pus que m’agripper aux rebords du bureau pour ne pas chuter. Sa verge me défonçait à m’en donner le vertige. En transe, le stagiaire se mit à m’insulter comme pour se donner une conduite. Je prenais un plaisir intense à me faire humilier par ce garçon d’ordinaire sage.— Montre-moi tes nichons, salope ! me lança-t-il.Je m’exécutai, retirant mon chemisier, et mes seins jaillirent, les bouts dressés.— Masse-les-toi, ...
    ... souffla-t-il en pilonnant ma chatte.De ma main droite, je malaxais un sein tandis que de l’autre je pressais mon clitoris. Je voulais qu’il crache sa sauce chaude dans ma chatte. Une preuve pour moi de te prouver mon coït avec le stagiaire. Sa queue infatigable me fouillait la vulve. Une épaisse bave engluait l’entrée de mon vagin. Je n’en pouvais plus ; je me suis mise moi aussi à délirer.— Baise-moi… Oui, je t’en prie… baise-moi ! lui criai-je.Tout mon bas-ventre se mit à bouger au rythme de la queue qui me fourrageait.— Je me doutais bien que tu aimais ça, me lança-t-il.— Oui, j’aime ça ! lui répondais-je, à demi inconsciente, tant ce qu’il me faisait me mettait dans tous mes états.J’avais perdu toute dignité. Il était en sueur et ahanait. Alors que je ne l’attendais plus, je sentis une crème brûlante fouetter les parois de mes entrailles. Il déchargeait en poussant des cris sourds. Je me laissai aller à gémir pendant son orgasme.
    
    — Voilà, mon chéri : à présent tu sais tout.
    
    Elle se saisit de la bouteille de champagne et s’en versa une nouvelle coupe.
    
    — Bravo, ma belle ! Comme tu peux le constater, ton aventure m’a mis dans un sacré état…
    
    Mon érection faisait une putain de bosse à mon pantalon, à m’en faire mal. Je me suis agenouillé au pied du divan, là même où était confortablement assise Claire, la coupe de champagne à ses lèvres. Comme elle portait une jupe, je n’ai eu grand-chose à faire pour voir apparaître sa culotte transparente. J’ai cru défaillir rien ...