1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1034)


    Datte: 21/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... mains dans le dos, j'écartais légèrement les jambes et je baissais la tête. L'homme m'observa de longues minutes, silencieusement, totalement impassible. Cela commençait à me rendre mal à l'aise. Est-ce qu'il attendait quelque chose de moi ? Attendait-il que je me mette à parler ? J'avais murmuré un bonjour en entrant et j'avais vu à son attitude qu'il avait entendu mais auquel il n'avait pas répondu. Quand tout à coup il se leva. Il donnait une impression imposante. Sa voix résonna, cinglante, glaciale.
    
    - Eh bien ! Est-ce ainsi que Monsieur le Marquis d’Evans, mon parrain, t’a éduquée ? Cela m’étonnerait bien ! Tu seras punie pour ton manque de respect envers le Maître qui te soumet et envers moi. En attendant, prends donc la seule position qui sied à une vilaine petite chienne qui voudrait faire croire qu’elle a été mal éduquée !
    
    Je commençais par m’agenouiller puis j’étendis les bras autant que possible devant moi, le cul bien relevé, les reins bien cambrés. Quelques secondes plus tard, je ressentis la force d’une dizaine de coups de fouet. Il s’était levé et approchait de moi pour mieux contrôler la force et la destination des lanières.
    
    - Ceci est la position d’une bonne petite chienne, et il ne me semble pas que tu mérites ce titre présentement ! De plus, bonne ou vilaine, une chienne, qui de plus est une chienne MDE, se doit être dévêtue ! Allons, obéis donc et prestement !
    
    Et tandis que je me relevais, que je me déshabillais et que je m’allongeais par ...
    ... terre, m’aplatissant le plus possible au sol, le fouet continuait à tomber régulièrement. Quand j’eus fini, l’homme s’éloigna de moi et exigea que je rampe jusqu’à lui, telle une larve grouillante pour reprendre son expression, et que je vienne nettoyer le cuir de ses chaussures. J’obéis du mieux que je pus, sentant l’odeur âcre emplir ma bouche et ma gorge. Lorsqu’il fut satisfait du degré de propreté et de brillance du cuir, il se recula brusquement de manière à ce que ses pieds ne soient plus accessibles à ma bouche.
    
    - Bien, maintenant, tu vas me suivre, et dans ma grande magnanimité, je t’autorise te redresser sur tes quatre pattes pour pouvoir m’obéir. Je vais te faire visiter et t’expliquer un peu comment va se passer ta journée. Mais avant, comme une vraie chienne, fais la belle !
    
    Et alors que je me redressais sur mes genoux, aussi écartés l’un de l’autre que possible, les coudes repliés, les poignets cassés remontés au niveau des yeux, il alla chercher quelque chose dans l’un des tiroirs de son bureau. Lorsqu’il revint vers moi, je pus voir, malgré mon regard baissé, qu’il tenait à la main une petite sacoche qu’il posa au sol après avoir posé un genou à terre. Il me flatta la tête, comme il l’aurait fait d’une vraie chienne. Puis il ouvrit le petit sac qu’il avait apporté et posa sur moi chaque objet qu’il en sortit. D’abord une paire de pinces mordantes pour mes tétons, puis une pour mes lèvres intimes qui étaient déjà fort humidifiées, je dois bien l’avouer, par la ...