La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1034)
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1027) -
Il tira sur la laisse vers le haut, enleva la laisse et le collier et me tendit un papier, avant d’ouvrir la porte et de me pousser à l’extérieur. Nouveau jour, nouvelle adresse, nouvelle aventure… Je dépliais le papier pour y lire le nom d’un établissement, la discothèque « Le Bilitis ». Le nom ne m’évoquait rien de particulier. En revanche une discothèque, ce n’était pas en principe ouvert la journée donc je m’attendais à être surprise, enlevée, interceptée à tout moment. Je me trompais entièrement. La distance à parcourir n’était pas bien longue, et assez vite j’arrivais devant le bâtiment en question. Je vis plusieurs affiches collées sur les portes. Il y avait un restaurant visiblement à l’intérieur, il devait y avoir possibilité amplement de se déplacer car la façade était immense. Et pour le soir même il y avait un évènement cochon grillé. Je commençais à me demander quel genre de discothèque cela pouvait être pour faire du cochon grillé ! Je trouvais sans mal une petite sonnette sur laquelle j’appuyais. Une jeune femme très belle qui portait le même genre de vêtements que moi à la différence que tout était en soie noire, m’ouvrit, me sourit, et au moment où j’allais parler elle m’arrêta d’un geste de la main portant un doigt devant sa bouche pour me faire comprendre qu’il ne fallait rien dire, pour ensuite me faire signe de la suivre.
Je pénétrais alors dans un hall où ...
... de magnifiques tableaux et quelques statues dans des poses très suggestives décoraient l’entrée. L’endroit faisait très chic, très classe, et je me sentais un peu déplacée avec ma tenue, car même si la personne qui m’avait ouverte portait le même genre, la matière des étoffes changeait tout, et le rendait presque sophistiquée, malgré le peu de tissu qui la couvrait. La jeune femme que je suivais me conduisit à travers des couloirs assez sobres, avec quelques autres tableaux ici et là. L’un d’eux me marqua particulièrement, une photo de l’inauguration de l’établissement, sur laquelle apparaissait Monsieur le Marquis d’Evans en personne en train de couper le ruban inaugural tricolore. Cela ne pouvait présager que d’une nouvelle journée intense et forcément sécurisée. On marcha d’un pas tranquille pendant quelques minutes avant de s’arrêter. Elle frappa à la porte qui se trouvait devant nous, et quand l’injonction d’entrer tomba, elle ouvrit la porte, et me poussa à l’intérieur d’une pièce qui se trouvait être un bureau, mais elle n’entra pas avec moi et referma avant de repartir.
Je me retrouvais en face d’un homme d’une quarantaine d’années, assis dans un fauteuil en cuir, derrière un bureau. Je ne savais pas quelle attitude adopter devant lui. Ce n'était pas parce que le Maître Vénéré apparaissait sur une photo que cela voulait forcément dire que la personne en face de moi faisait partie de notre monde. Dans le doute, je restais debout, mais instinctivement je passais les ...