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A la découverte de moi-même
Datte: 20/05/2021, Catégories: fh, extracon, hotel, amour, Oral pénétratio, Auteur: Nath75, Source: Revebebe
... laisser dominer la situation. Je tirais doucement sur son boxer pour libérer dans un premier temps son pénis tendu. Je ne pus m’empêcher de sourire et de le comparer à celui de Stéphane. Il était viril. Deux à trois centimètres plus longs, un gland large et rose bien décalotté, c’était une queue bien droite et plus épaisse où l’on voyait se dessiner tout du long des veines gonflées par l’afflux de sang provoqué par l’excitation. Jamais connu d’autres comme ça. Je le caressai doucement en tirant de nouveau sur le tissu qui restait. Ses couilles étaient bien grosses recouvertes d’un léger duvet de poils noir doux au toucher. Continuant le léger va-et-vient de ma main autour de son gland tout en lui tenant ses bourses, Luc faisait entendre une respiration plus forte. De sa main, qui parcourait mon dos, il appuya légèrement sur ma nuque. Je compris immédiatement sa demande. Je ne pouvais m’empêcher de penser au goût de la bite de mon mari, mais quand mes lèvres et ma langue furent au contact de son gland chaud et humide, ce fut tout autrement. Malgré un aspect lubrifié que je n’appréciais pas trop, j’aimais parcourir avec ma langue la collerette bien prononcée et surtout la peau de son pénis où je sentais les veines douces qui tressaillaient sous mes caresses. À en croire les petits gémissements de mon amant, je me débrouillais finalement pas trop mal. Au bout de quelques minutes, sa queue était tendue à mort et je l’admirais de temps à autre : putain, quelle bite ! N’y ...
... tenant plus, Luc se releva pour m’embrasser et me mit sur le dos. Je le tenais par les biceps. Il présenta sa queue à l’entrée de mon vagin. Il appuya délicatement et son gland vint ouvrir les premiers replis de mon intérieur. Je poussais un premier gémissement. Il continua ensuite doucement de progresser centimètre par centimètre. Je sentais son membre m’écarter, me remplir comme aucun autre homme. Quand son gland vint buter au fond de moi, il était complètement rentré, les couilles contre la naissance de mes fesses qu’il tenait fermement. Il commença alors un va-et-vient doux avec quelques moments de rapidité. Je sentais en moi monter la jouissance, j’avais déjà dépassé le stade du plus fort plaisir que m’avait donné mon mari. Luc n’arrêtait pas de me chuchoter que j’étais belle et ça me rendait folle de lui. Il accéléra encore ses mouvements et m’arracha un premier cri que je ne pouvais contenir. Je m’agrippais à ses fesses et le plaquais par intermittence contre moi. À chaque fois que cela arrivait, je criais de satisfaction. Quel pied ! En ralentissant peu à peu, il sortit son engin trempé de ma mouille et me retourna sur le lit. Je me mis à quatre pattes. Jamais on ne m’avait fait cette position. Il écarta doucement mes lèvres et rentra son gros gland en moi. Je le sentais encore plus. Je sentais coulisser sa bite bien droite et je criai à chaque assaut. Je l’accompagnais dans sa tâche en venant à sa rencontre par des mouvements de mon bassin. Il me tenait les hanches, et ...