1. Une éducation sexuelle de visu


    Datte: 20/05/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Micky, Source: Hds

    ... manière que Caroline trouva un peu indécente. Cela ne ressemblait pas à la femme qu'elle voyait tous les jours. Le père souriait, visiblement émoustillé. C'est alors qu'il déclara après le dessert :
    
    - Bon, Caro, tu débarrasses la table, nous on va faire une petite sieste, de toute façon avec le temps qu'il fait, il n'y a rien à faire cet après-midi.
    
    Et le couple s'en fut dans sa chambre.
    
    Or, celle-ci était contiguë à une sorte de remise surplombée d'une vitre donnant directement sur la pièce. C'est là que le couple entreposait ses valises et divers objets encombrants. Un escabeau s'y trouvait. Caroline, après avoir débarrassé rapidement la table, se glissa dans le local et, avec une prudence infinie, plaça l'escabeau de manière à pouvoir surplomber la chambre. Elle avait parfaitement conscience que ce qu'elle faisait était mal et qu'il lui en cuirait si elle était découverte, mais elle voulait en avoir le coeur net : ses parents allaient-ils vraiment faire la sieste ? N'allaient-ils pas faire l'amour ? N'était-ce pas une occasion unique de voir "comment ça se passe" ? Il faut préciser qu'on se trouvait à une époque où internet n'existait pas et pas davantage les vidéos de sexe. A moins de se rendre dans un cinéma porno à 18 ans au moins, aucun acte sexuel entre humains n'était visible. Quant à la littérature, encore fallait-il la connaitre.
    
    Lorsque son regard plongea sur le lit, ses parents étaient déjà nus. Ils s'embrassaient assis et se caressaient mutuellement ...
    ... le sexe en se parlant à mots couverts. C'était la première fois qu'elle les voyait sans le moindre vêtement. Elle fut stupéfaite de voir le volume des seins de sa mère, bien plus gros que les siens, son pubis aux poils bruns très fournis, ses cheveux libérés du chignon mais aussi et surtout le pénis de son père d'une taille inimaginable, pointant comme une corne sortie de son ventre, ses fesses velues et les deux grosses bourses qui pendouillaient. Ecarlate, Caroline amorça la descente de l'escabeau. Elle ne pouvait pas voir ça. Mais arrivée en bas de l'échelle, une force irrépressible la poussa à remonter. Le feu aux joues, elle regarda à nouveau par la lucarne.
    
    Ce qu'elle vit lui fit dresser les cheveux sur la tête. Son père était allongé, béat, les mains derrière sa tête, et sa mère, à genoux entre ses jambes, engloutissait le pénis à cadence régulière avec une volupté évidente. Sous ses fesses charnues, sa vulve était béante, comme en attente. Puis elle se retourna, attacha à nouveau ses cheveux en chignon et, la croupe sur le visage de son mari, poursuivit sa succion. Caroline découvrait le 69 et elle trouva cette attitude très sale, indigne de ses parents. Mais sa mère y prenait visiblement un tel plaisir qu'elle en fut infiniment troublée. Elle relevait parfois le visage pour gémir, signe que la langue de son mari n'agissait pas en vain, et repartait vers sa succion. Le pénis avait désormais atteint une longueur et une épaisseur qui effraya Caroline. Ainsi, c'était ...
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