1. Une éducation sexuelle de visu


    Datte: 20/05/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Micky, Source: Hds

    ... et se parlaient en souriant tout en se masturbant mutuellement. Que pouvaient-ils se dire ? Caroline ne les entendait pas. Mais ce devait être excitant car le pénis de son père était toujours aussi impressionnant. D'autant que sa mère se pencha à nouveau pour le sucer. Elle semblait vénérer ce membre viril comme s'il était sacré. Après l'avoir longuement sucé, cajolé, reniflé, elle le prit à pleine main et, tout en basculant sur le lit, entraina son mari entre ses cuisses. Caroline découvrit alors une autre vision de l'amour. Elle était fascinée par les fesses poilues de son père qui s'agitaient frénétiquement et donnaient l'impression qu'il creusait sa mère. Celle-ci empoignait ces mêmes fesses comme pour accompagner leur rythme, manifestant ainsi une adhésion totale à la fouille de son mari. C'était ce qui surprenait le plus Caroline : que ces vigoureuses percussions d'un sexe aussi gros dans l'intimité de sa mère puisse lui procurer autant de plaisir et non la faire souffrir. Caroline ne voyait pas son visage mais elle voyait ses pieds. Tantôt dressés vers le plafond, tantôt rivés dans les reins de l'homme, les orteils tantôt rétractés, tantôt écartés, ils semblaient vivre l'acte sexuel de façon autonome. Elle finit même par les prendre à pleines mains pour les écarter et ainsi faciliter le forage de son mari, aux mouvements de reins de plus en plus amples. Elle perçut nettement un cri de sa mère et vit, avec surprise, son père se retirer brutalement en comprimant son ...
    ... pénis. Elle ne savait pas qu'il avait failli éjaculer mais qu'il entendait prolonger le délicieux moment en compagnie de son épouse.
    
    Une fois encore, le couple se retrouva face à face assis sur le lit, observant une sorte de pause masturbatoire tout en s'embrassant. Pour la première fois, Caroline constata un moment vraiment affectif et non bestial. Cela la rassura. Mais la bête qui sommeillait en eux se réveilla très vite et l'accouplement recommença, toujours aussi ardent, presque choquant. Cette fois, la mère chevaucha le père face à lui. Elle absorbait le pénis sans effort, révélant une profondeur qui épatait sa fille. Son cul blanc, contrastant avec le reste de sa peau bronzée, se levait avant de s'affaisser brutalement sur la colonne de chair, véritable axe de son plaisir. Elle faisait même tout pour l'engager le plus profondément en elle, comme si cette profondeur était la source de son extase. Jamais au bout de ses surprises, Caroline la vit glisser sa main dans son dos à la recherche des couilles, les flatter, les peloter, provoquant une nouvelle ruée de son père qui faillit désarçonner sa mère et la fit même éclater de rire.
    
    Le couple se désunit à nouveau mais la rigidité intacte de l'homme et les cuisses ouvertes de la femme laissait présager la continuité de l'accouplement, même si tous deux semblaient observer une pause. Il lui murmura quelque chose à l'oreille et prestement, elle se retourna à quatre pattes, posée sur ses coudes et fesses en l'air, en travers ...
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