1. A la merci de mon beau-frère Ch. 08


    Datte: 20/05/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... fringues et se mit à me caresser lascivement.
    
    Ses doigts et sa bouche travaillaient de concert mes nibards et ma foufoune, je tentais de résister mais mon corps répondait à ses caresses.
    
    Alors que j'haletais, pantelante, il me remonta sur le siège et pencha mon torse à l'extérieur par la vitre.
    
    Il drapa ses cuisses sur ses épaules et se mit à me travailler la chatte et le clito.
    
    L'air frais se ruait entre mes nibards raidis, les érigeant encore plus.
    
    Ses doigts coulissaient dans ma cramouille alors qu'il mâchouillait mon clito et parcourait mes babines si sensibles de la pointe de la langue.
    
    Sans défense je m'étalais sur le toit m'exposant au regard des curieux qui déambulaient sur l'avenue.
    
    Lorsque mon orgasme montait, je savais que je devenais
    
    Exubérante, extrêmement bruyante, je faisais des efforts herculéens pour contenir mes cris et mes gémissements.
    
    En dépit de ma gêne de jouir ainsi en public, ni le toit qui s'enfonçait sous mon poids, ni la haine de ce que Yan ...
    ... me faisait ne purent endiguer le terrifiant orgasme qui me terrassa brutalement.
    
    Je frissonnais de tout mon corps lorsqu'il m'attira vers le bas.
    
    Il se rassit sur le siège et m'enfourcha de façon à ce que je puisse lui sucer la bite tandis qu'il pétrissait mes miches.
    
    Un nouvel orgasme me submergea, il sourit à pleines dents comme je me tordais et frétillais tout contre lui.
    
    J'étais trop épuisée pour remarquer le regard enivré du conducteur qui nous ramenait chez nous, mais Yan était bien plus observateur que moi.
    
    Immanquablement je dus monter à l'avant et je dus faire une pipe au chauffeur durant le chemin du retour.
    
    Epuisée, je chancelais pour gravir les escaliers m'amenant dans mon lit, soulagée de savoir que mon épreuve prenait fin.
    
    Dans une quinzaine de jours Yan déménagerait et tout cela ne serait plus que des mauvais souvenirs.
    
    Je pouvais bien attendre encore un peu.
    
    *
    
    Coulybaca
    
    16 juillet 2007
    
    Texte d'un auteur inconnu traduit de l'anglais par Coulybaca 
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