1. LUNE DE MIEL AU PARADIS


    Datte: 13/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... accentuer ces fortes paroles, il commença son va-et-vient dans le cul de la femelle, sortant lentement du tube dilaté presque entièrement, pour se replanter au fond du trou d'un coup de rein rageur.
    
    « Tous les hommes noirs sont comme ça ... Aucun mec blanc n'égalera jamais … Désormais, tu seras une chienne pour la grosse bite des hommes noirs, eux seuls peuvent te faire jouir comme ça!» Bien sûr, à cette cadence, il éjacula rapidement dans les entrailles de la femelle, et le copain prit sa place.
    
    La femme blanche corrompue n'était pas déçue par son acolyte, les hanches agrippées par de grandes mains noires et chaudes, le trou du cul distendu par un énorme braquemart. Grignotant son oreille, lui titillant le clito et les tétons turgescents pendant que le deuxième larron la sodomisait, Sylvio rabâchait sa leçon:
    
    « Parfait ... Tellement chienne ... Esclave du sexe interracial ... J'adore, petite pute … Maintenant, tu vas bien m'écouter, ton mari, tu vas le mettre en cage … Une petite cage, pour son petit oiseau … Plus jamais … Plus jamais il ne te baisera, ni dans la bouche, ni dans la chatte, ni dans le cul … Juste sa langue, pour te nettoyer les orifices, quand tu baiseras avec un frère noir … » Anita, désespérée, gémissante, haletait lourdement pendant qu'elle le regardait fixement, son esprit stupide s'abattant sur sa volonté tandis qu'elle subissait l'assaut du jeune africain supérieurement musclé.
    
    Son amant d'ébène ricana. Après quelques jours de copulation ...
    ... intensive, elle serait complètement endoctrinée et dressée. Robert était déjà presque impuissant et allait être encagé jusqu'à la fin de leur lune de miel. Il ne la toucherait plus jamais sexuellement.
    
    Anita gémit joyeusement tandis que les deux gaillards noirs se moquaient d'elle dans leur sabir, ne sachant pas qu'elle passerait les prochains jours ici, exploitée, abusée et tyrannisée par toute une troupe de gourdins noirs, maintenue en état hypnotique par les drogues. Et, qu'elle adorerait cela.
    
    Ses mains se débattaient pour manipuler le gros chibre géant que Sylvio enfonçait dans sa gorge, ouvrant sa bouche toute grande, sa longue langue rose glissant sous sa queue, la sueur brûlant ses yeux, pendant que le deuxième vaurien se répandait dans son fondement à grandes giclées de sperme.
    
    Pressant fermement sur la nuque, les doigts agrippés dans la tignasse, il se fourrait de plus en plus profond dans sa gorge jusqu'à ce que son petit nez blanc vienne se poser dans son buisson de poils pubiens.
    
    Elle ne réalisait pas quel était son potentiel, mais son corps réagissait avidement, conditionné et contrôlé par sa luxure et les drogues ... Elle comprenait ce qui lui arrivait, elle savait qu'elle glissait vers l'adoration de ce gigantesque manche d'ébène, qu'elle raffolait de son parfum musqué, déjà accro à cet amant dominateur et cruel.
    
    Lorsqu'elle rejoignit Robert près de la piscine, il émergeait à peine d'une après-midi de farniente. Le secouant, elle l'obligea à ...
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