1. LUNE DE MIEL AU PARADIS


    Datte: 13/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... loin, on peut faire du naturisme, c'est bon pour nos culs noirs!»
    
    Excitée et heureuse, elle glissa son bras sous le bras des garçons, et encadrée par les deux bellâtres, s'en alla, la chatte en feu, vers son destin de pute à blacks. La crique était déserte et isolée, mais le sable était remplacé par des roches plates, d'origine volcanique, sur lesquelles on pouvait s'allonger. A peine arrivés, les garçons se dénudèrent et se jetèrent à l'eau en riant. Anita suivit prestement le mouvement, et ils se retrouvèrent à batifoler dans l'eau, embrassant une bouche, puis l'autre, se cramponnant à leur vit en semi-érection. Mais la jeune femme était sous l'emprise de ses sens en ébullition et elle remonta vite sur le rivage, s'allongeant les jambes écartées et les appelant pour la rejoindre. Ils ne la firent pas attendre et vinrent s'étendre chacun d'un côté, s'emparant de sa féminité, de la bouche et des mains, suçant, palpant, pendant qu'elle secouait leurs bites maintenant bien développées.
    
    Le noir musclé mordillait son lobe d'oreille, pétrissant son sein nu, tordant son mamelon érigé pendant qu'il lui murmurait chaudement: « On va te baiser l'un après l'autre et après, quand je t'aurais cassé le cul, on te prendra en doublette, ma petite salope d'épouse infidèle.»
    
    Les mains pétrissaient son corps comme un morceau de viande, les drogues la rendant plus impudique et plus chaude, elle s'écria: « Ooh, oui, prenez-moi, maintenant, je suis prête, fourrez-moi vos queues dans ...
    ... tous mes orifices, faites de moi ce que vous voulez, je vous appartiens, mais baisez-moi, MAINTENANT!»
    
    Les jambes écartées, ils pénétrèrent sa chatte trempée l'un après l'autre, se retenant pour la faire jouir au maximum en économisant leurs forces, jusqu'à ce que, ivre de luxure, elle se positionne d'elle-même à genoux, la joue au sol, écartant ses fesses à deux mains, en les suppliant: « Allez-y, maintenant, prenez-moi le cul, je suis prête!»
    
    Sylvio lui cracha sur la rondelle et sans autre préparation, l'agrippant par la tignasse pour la maintenir cambrée, lui planta son gros bâton noir dans le cul, d'une seule poussée rectiligne. Elle hurla de douleur, mais comme il ne bougeait pas, planté au fond de son cul, elle finit par s'habituer à l'énorme morceau de viande noire qui distendait des chairs. Pendant ce temps, le copain s'occupait de sa chatte et de ses seins en les malaxant fermement.
    
    Sadique, Sylvio questionna: « Alors, ton petit mari blanc, avec son petit oiseau tout mou, il te donne autant de plaisir?»
    
    « Ooh, non, avec lui je simule pour qu'il soit content, mais il me chatouille à peine. Il n'y a qu'avec sa langue...»
    
    «Très bien, désormais, il ne pourra utiliser que sa langue. Son petit oiseau blanc, tu le mettras en cage, et quand tu voudras baiser, tu iras trouver le nègre avec sa grosse bite, OK? Si tu fais ce que je t'ordonnes, je te donnerai autant de plaisir que tu pourras en supporter, salope, mais défendu le sexe avec le petit blanc!» Et pour ...
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