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Sans maillot
Datte: 19/05/2021, Catégories: Première fois Auteur: Jpj, Source: Hds
... mais aussi Valalta en Croatie, Banana en Grèce, Es Pregons aux Baléares. Vivre à poil était la justification, la raison d’être de tous nos voyages. Mais je vois que toi non plus tu ne portes pas l’infâmante marque du maillot. Es-tu adepte également, afficionado, du cul nu ? Moi je n’avais jamais érigé le nudisme au rang de philosophie ou d’art de vivre. Juste, vu que je n’avais pas de vis à vis, je bouquinais à poil chez moi, sur ma terrasse, prenant douche froide au tuyau d’arrosage à chaque chapitre. C’était là seulement la justification de mon corps uniformément bronzé. Je me souvenais de la gamine qu’elle avait été avec son maillot une pièce bien couvrant et ses dénégations chaque fois que j’introduisais une main préhensile à son aisselle sous la bretelle histoire de tripoter son sein juvénile. Néanmoins mon souvenir est qu’elle aimait ça et se tortillait bien plus pour faciliter mon intrusion que pour y échapper. On était maintenant assis dans le sable fin, encore mouillés de la baignade et moi je la regardais et elle me regardait. Ses lèvres ouvertes dégorgeaient les ailes d’un grand papillon sombre portant une tige clitoridienne dressée comme étendard. Le tout enfoui dans une pilosité abondante toute ronde de multiples boucles. Mon outil personnel avait gardé flaccidité normale grâce au froid de l’eau mais je sentais bien que la douceur du sable à mes fesses et la chaleur du soleil dardé allaient incessamment sous peu déclencher une érection gênante. ...
... D’autant que la vue de son intimité accueillante me troublait. Elle riait et a dit, le naturisme n’est pas une activité sexuelle. Et il te faut réfréner tes pulsions. Je suis flattée que tu trouves intérêt à mater ainsi ma vulve mais ... o et puis merde et elle a empaumé mes roupes sablonneuses et engoulé mon gland et un bon tronçon de ma tige grandissante. Puis elle n’a plus rien dit. J’ai compris que son mari n’avait plus trop d’importance devant le bonheur de nos retrouvailles. Que le temps passé avait brutalement balayé le temps présent. Son gosier avait avalé toute ma longueur et elle gurgitait mon gland de multiples convulsions de glotte tant et si bien que je n’en pouvais plus des souvenirs d’autrefois. J’étais en conte de fée et les images qui passaient en ma tête me ramenaient en adolescence. Adolescence et tout est revenu de mes explosions trop précoces. Et j’ai trouvé à nouveau entre ses amygdales exutoire à mon trop plein de tendresse. Elle n’a pas été surprise, presque on aurait pensé qu’elle le savait. Elle a tout reçu, ingurgité. Et ses yeux étaient rieurs, complices de ma faiblesse. Elle a voulu retourner à l’eau chaude de la baïne comme à celle d’une baignoire, d’un spa. Elle était gouleyante comme un vin du sud et moi je me laissais faire. Dans l’eau elle se pressait contre moi et cherchait mes hanches pour les serrer de ses cuisses. Et je comprenais qu’elle voulait à présent aller plus loin aujourd’hui que nous n’étions allés autrefois. ...