1. Le masque (1)


    Datte: 13/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Osiris, Source: Xstory

    ... réalisé que j’étais dans un carcan en bois bien immobilisé.
    
    J’ai paniqué et j’ai essayé de me dégager, mais l’appareil était extrêmement lourd et ne bougeait pas d’un pouce. Tout était bien verrouillé de façon sécuritaire et ne laissait aucune place à aucun type de mouvement. Qu’est-ce qui m’arrivait, bon sang ? Je n’arrivais pas à m’y faire à l’idée.
    
    Elle s’est approchée de moi, m’a redonné la vue et s’est assise face à moi avec un sourire satisfait.
    
    — Tu devrais voir tes yeux, chien, ils sont terrifiés.
    
    J’ai essayé de crier (ce qui était difficile avec ma langue coincée) mais ce qui est ressorti, c’était une série d’aboiements impuissants.
    
    — Désolé, mon chien, je ne comprends pas le langage canin, mais ne t’inquiète pas, Maîtresse va bien prendre soin de toi !
    
    Elle m’a tapoté et caressé la tête.
    
    J’étais terrifié et humilié, comment avais-je pu laisser faire ça ? J’avais peur et j’étais stupide d’être tombé dans le panneau.
    
    — Bon, mettons correctement ce masque !
    
    Elle s’est levée et s’est assise sur mon dos, elle a ouvert un truc, et a serré encore plus les lanières, une par une. Le masque est devenu si serré que j’avais l’impression qu’il ne faisait qu’un.
    
    Elle s’est levée et est réapparue avec une masse métallique à la main :
    
    — Tu vas avoir un joli collier mon chien ! dit-elle avec un grand sourire.
    
    J’ai réalisé qu’elle voulait me mettre un collier autour du cou, j’ai secoué ma tête violemment, je voulais lui faire comprendre que ce ...
    ... n’était plus amusant, mais elle s’assit sur mon dos et passe ce collier, elle le ferma solidement, l’ajusta, il me serrait la gorge et il était lourd.
    
    — Relax, boy, il est bien serré et ne se détachera pas, ne t’inquiète pas, tu t’y feras, il est là de façon permanente !
    
    De façon permanente, elle voulait rire, que voulait-elle dire par là ?
    
    Elle est réapparue devant moi :
    
    — J’ai besoin de te libérer du carcan, mais je dois te prévenir, ne tentes rien ! tu vois ce que je te tiens dans la main (elle tient un long bâton de métal avec une poignée. Elle a appuyé sur un bouton et une flamme bleue crépitante d’électricité en sortait à son extrémité), c’est un aiguillon à bétail conçu pour le faire avancer. Imagine ce qu’on ressent quand on touche la chair humaine. J’ai entendu dire que la douleur est presque insupportable et que beaucoup de gens s’évanouissent. Si tu essaies de te détacher ou de m’attraper, je m’en servirai sur toi.
    
    Elle m’a coupé tous mes vêtements avec une paire de ciseaux, me laissant nu, sauf le collier, le masque et les mitaines. Je me sentais gêné et violé. Elle m’a donné une fessée.
    
    — Joli cul. Je vais prendre plaisir à le regarder quand tu marcheras à quatre pattes sur le sol.
    
    Elle a défait une de mes mitaines et a roulé une manche très serrée jusqu’en haut de mon épaule. Elle se termine par une patte bien plus réaliste dans laquelle je ne pouvais entrer qu’en enfonçant mon poing. Une fois que la manche était au niveau du collier, elle l’a ...
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