1. Le masque (1)


    Datte: 13/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Osiris, Source: Xstory

    C’était un samedi soir, comme toujours triste et monotone, j’étais nouveau en ville, je venais de m’y installer, je commencerai un nouveau boulot dans 15 jours, je ne connaissais personne dans cette ville, et d’ailleurs mon cercle d’amis était inexistant, et ma famille : loin ou disparue.
    
    Je déambulais dans les rues, il y avait de l’animation dans les bars, mais ma timidité est forte, au détour d’un angle de rue, et d’un bar, j’aperçois une femme, je ne sais pourquoi mais elle a captivé mon regard, je suis entré, et je me suis dit, que je serais mieux au chaud, accoudé au bar en sirotant une bière pour la « mater ».
    
    Je me suis mis dans un coin, et du coin de l’œil, je pouvais la voir, elle était avec une autre femme, plus jeune qu’elle, je lui donne une petite quarantaine, un style simple, un look un peu comme une banquière : petite jupe aux dessus des genoux noirs en cuir, des collants ou bas noir, un chemisier en satin ou soie blanc, un maquillage parfait, juste ce qu’il faut, et de très jolie forme, une poitrine généreuse que je n’arrête pas de reluquer.
    
    Elle cause à sa copine, elle rigole, et moi je suis obsédé par sa poitrine, je ne remarque même pas à un moment qu’elle est maintenant seule.
    
    Je ne sais à quelque moment, mais j’ai croisé son regard, et elle a bien remarqué mon manège, elle se lève et se dirige vers moi, je ne sais où me mettre, je lui tourne le dos, et elle me dit :
    
    — Ça va, tu t’amuses bien ? me dit-elle d’un ton sec et autoritaire.
    
    — ...
    ... Euh, je m’excu... Je bredouille, bégaye.
    
    Elle me dévisage, me regarde de bas en haut d’un air supérieur, et me sourit :
    
    — Ce n’est rien, jeune homme, je ne vais pas me plaindre qu’un homme me regarde, du moment que cela reste courtois, il faut arrêter ce sexisme, quand je mets une jupe j’aime que les hommes me regardent.
    
    Je ne savais que dire.
    
    — Moi, c’est Vanessa, me dit-elle un beau sourire.
    
    Sa bouche resplendissait d’un rouge et elle avait un sourire d’une blancheur.
    
    Elle m’a invité à venir à sa table, et nous avons discuté pendant des heures, elle a tout appris de ma vie, mais moi rien de la sienne, j’étais de plus en plus excité, je ne voulais pas la lâcher, et j’acquiesce et souriais à la moindre de ses vannes. Je me sentais comme l’homme le plus chanceux du monde, je n’avais jamais été avec une femme aussi jolie.
    
    Si bien que lorsqu’elle me proposa de finir la soirée chez elle, je ne pouvais qu’accepter, c’est un cadeau de Noël avant l’heure, je n’ai évidemment pas refusé.
    
    Dans sa voiture, elle continuait de parler de chose et d’autre, sa main est venue se poser sur ma cuisse gauche, et elle est remontée à mon entrejambe, elle me sourit quand elle constata mon érection.
    
    Elle s’arrêta devant un portail, et d’un clic sur une télécommande, il s’ouvre et se referma derrière notre passage, c’était une belle demeure, un manoir plutôt !
    
    — Ne t’inquiète pas, j’ai hérité de mon défunt mari, et je ne suis plus à l’abri du besoin.
    
    Nous entrons et ...
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