1. Le masque (1)


    Datte: 13/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Osiris, Source: Xstory

    ... va faire pipi aussi.
    
    J’ai suivi l’ordre. Elle m’a attrapé le museau et m’a fait lever les yeux vers elle.
    
    — Regarde-moi, bon garçon. Je savais que tu pouvais le faire ! Tu es un si bon garçon.
    
    Elle m’a nettoyé le cul avec une lingette humide et m’a frotté la bite avec une autre.
    
    — Nous y voilà. Ton joli petit cul et ton joli petit pénis sont bien propres. Allons te chercher quelque chose à manger et à boire.
    
    Je n’avais même pas pensé à manger et à boire, mais dès qu’elle l’a dit, j’ai réalisé que ma bouche était desséchée et mon estomac complètement vide. Elle allait devoir enlever le masque de chien, j’ai réalisé avec excitation. Je devais lui dire quelque chose à tout prix. Je devais l’en dissuader d’une façon ou d’une autre. Au moins, la convaincre de libérer mes jambes. Les avoir pliées comme elles l’étaient, était horrible et je commençais à m’inquiéter des dommages à long terme qu’elles pourraient subir.
    
    Malheureusement, le masque n’avait pas besoin d’être détaché. Elle a commencé avec de l’eau. Une bouteille avec un bec long et étroit a été poussée dans mon museau et je l’ai sentie se verrouiller sur l’anneau dans ma bouche.
    
    — Détends ta gorge pour ne pas t’étouffer.
    
    Elle a appuyé sur un bouton de la bouteille et l’eau a coulé dans ma bouche et dans ma gorge. Terrifié par l’étouffement, j’ai fait de mon mieux pour me détendre et, à mon grand soulagement, l’eau est descendue sans encombre. Ensuite, c’était le petit-déjeuner. C’était une soupe ...
    ... liquide épaisse et dégoûtante qu’il était très difficile à boire. Elle a terminé en me versant encore trois grandes bouteilles d’eau dans la gorge. À la fin de la troisième, j’ai failli vomir. J’étais complètement rassasié et Dieu merci, il n’y avait pas d’autre bouteille qui arrivait.
    
    — Bon chien, Blackie ! m’a-t-elle dit en me tapotant la tête. Maintenant, on va te remettre dans ta cage. Maman doit aller travailler.
    
    Elle a tiré sur ma laisse et a commencé à marcher jusqu’à la porte du sous-sol. J’ai senti une vague de panique. Je détestais cette petite cage et j’étais impuissant à l’arrêter. Mes yeux se sont déchirés en marchant prudemment derrière elle. Une fois de plus, j’étais de retour dans cette horrible petite pièce de ciment avec la petite cage qui ressemblait à une cellule de prison miniature dans le sous-sol d’un château des années 1600.
    
    Face à la porte de la cage, je stoppe.
    
    — Tu veux que je te redonne une correction plus forte qu’hier soir ? De toute façon tu y rentreras, il faut peu de choses pour t’immobiliser, quelques pièces de cuir très bien ajustées, te rendent complètement dépendant de moi, de toute façon tu rentreras dans cette cage, quoique tu fasses !
    
    Elle prit la cravache accrochée au mur, et c’est la tête baissée que j’entre, je fais comme je peux pour lui faire face, elle ferme la cage et ferme avec le gros cadenas, elle recommence à attacher chacune des extrémités de mes membres, mais à quoi ça lui sert ?
    
    — Tu es bien installé ...