1. Soirée sensuelle pour soumise sexuelle


    Datte: 17/05/2021, Catégories: fhh, fsoumise, hdomine, Oral Partouze / Groupe fdanus, fsodo, jeu, aliments, fouetfesse, couple+h, fsoumisah, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... c’est plus simple comme ça. Bonne idée.
    — Ah oui, Marc, il faut que je vous précise une chose : c’est le sept qui risque de sortir le plus souvent, et ça va en se dégradant vers les extrêmes. Pour vous donner une petite idée, le deux et le douze n’ont qu’une seule chance sur trente-six de sortir. Par contre, le sept, lui, en a six sur trente-six.
    — Mes probas sont lointaines, oubliées même… Merci de l’information, je vais me faire un plaisir de répartir mes gages !
    
    Déjà mon Maître remplit sa feuille ; Monsieur jette de temps en temps un coup d’œil. Visiblement, ça lui donne des idées. À un moment donné, il fait voir sa feuille à Maître qui lui répond sereinement :
    
    — Pourquoi pas…
    
    Il ne faut pas demander ! Mon Maître aime le hasard plus ou moins contrôlé, il peut ainsi ignoblement se défausser sur la "Divine Providence" comme il dit par cynisme !
    
    — Récapitulons : ma soumise – notre soumise – jette les dés et nous énonçons le gage. Si elle ne veut pas, elle rejette un des deux dés. Mais elle doit s’exécuter pour ce nouveau gage, sans possibilité de choisir le précédent. C’est bien entendu, petite chienne ?
    — Oui, Maître, j’ai bien compris.
    — Très bien, commençons par votre feuille, Marc.
    — Euh… non, non, commençons plutôt par la vôtre…
    — Soit !
    
    Maître pose sa feuille sur la table basse, puis il se tourne vers moi et ordonne :
    
    — Eh bien, commençons ! Prends les dés, et lance-les !
    
    Je saisis les dés ; je ne vois pas très bien ce qui est marqué sur la ...
    ... feuille de Maître, c’est trop mal écrit. Je me demande même si c’est écrit en français ! Les dés roulent et indiquent un total de dix. Maître regarde sa feuille et énonce :
    
    — Une chose simple : petit travail des seins. Idéal pour commencer, je le reconnais.
    — Je peux avoir plus de précisions, Maître ?
    — Pas de pince à linge : juste quelques malaxages, soupesages des masses et étirements des tétons. Sans parler d’une mise en bouche, ce qui est le cas de le dire.
    — J’accepte, Maître.
    
    Sitôt dit, Maître me place au milieu du salon, me faisant mettre les mains sur la tête afin de bien dégager ma poitrine et la mettre en valeur. Puis, délicatement, il flatte mes tétons qui se dressent presque illico. Je distingue un net sourire de satisfaction sur ses lèvres. Il joue avec mes seins, les soupèse, les caresse, en pince délicatement les tétons. Puis se tournant vers notre invité, il lance :
    
    — Je n’aime pas jouer tout seul, d’autant que cette belle cochonne possède deux seins.
    
    Inutile de le dire deux fois à Monsieur ! Peu après, ce sont quatre mains qui me palpent, qui me caressent, qui tâtent l’élasticité de mes douces masses. J’aime que l’on profite de moi ainsi, me savoir désirable et désirée.
    
    C’est alors un festival de pincements, d’étirements, de broyages, mais aussi de caresses, de baisers et de lècheries. Comme une coquille de noix dans un torrent de désirs, je me laisse balloter, profitant de ces convoitises qui s’exercent sur moi et dans la chair blanche de mes ...
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